la coulée

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Bonjour à tous ! Tout d'abord je vous demande mille fois de m'excuser pour tout ce temps mais voila, je ne trouvais tout simplement pas d'inspiration.
Voila une toute petite suite pour vous faire patienter car le prochain chapitre est presque terminer mais je ne voulais vous faire attendre plus.

J'ai cette fois si écrit au passé simple et imparfait mais j'ésite entre ces deux temps et le présent, dites moi ce que vous préférez en commentaires

Bonne lecture

L'eau plonge dans un profond silence celui qui ne sait la maitriser. L'eau innonde les poumons, racle la gorge et lave l'estomac d'un mouvement rapide tandis que l'homme subit sa pression, il se débat puis coule d'une lenteur effrayante, d'une vitesse indescente. Puis trouve le fond, la fin de son périple.
Beaucoup finissent ainsit, glissent entre les eaux et n'y ressortent qu'en laissant un corps livide.
Mais beaucoup en ressortent, aidés par un autre, une main qui les arrachent des profondeurs pour retrouver la terre, un sauveur.

Corentin retrouva les brins d'herbes inondés d'air frais. Le parfum de la verdure empreinta ses narines agités. Le rythme de son coeur s'adoucit sous les frissons de sa respiration puis se reposa tel le métronome d'un débutant.
Ma main trouva reffuge au creu de sa cheuvelure douce, foncée par l'eau.
C'est un long silene qui suivit, ses prunelles brunnes s'encrérent dans les miennes, une goutte coula le long de son visage débutant par une mèche, s'acrochant au front puis roula au coin de son oeil. Sans y faire attention, elle trébucha sur sa joue rosé pour s'évanouir au millieu de son menton. Ma main vint contrer une deuxième cascadeuse puis tomba sur les lèvres du beau garçon.
J'aurrais, si j'avais pu me le permettre ajouté une mélodie de piano à la scène - sans doute Rain de Brain Crain - et un claire de lune pour accentuer le coté romantique de la scene mais sans, je le supporte très bien aussi.
Ses lèvres se posèrent rapidement sur les miennes. sa langue fit de long et festoyeux ravage à mon grand bonheur, cependant, nos ébat en réstèrent la pour le moment. Ce moment qui n'aurrait du vivre ne serais ce qu'une éternité.

Vue de Corentin

Mes pas suivirent la cadence insoutenable de mon coeur. L'actuelle raison de mon bonheur se trouvais maintenant à quelques rues. Insoutenables rues que j'aurrais voulut remonter pour retrouver son sourire.
Un début un peu chaotiques je peux vous l'avouer mais le souvenir de ses bras, si paisibles, légers...
Aucun doute je suis à elle.

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⏰ Dernière mise à jour : Jul 08, 2015 ⏰

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