𝐀𝐌𝐎𝐔𝐑 𝐃𝐄 𝐉𝐄𝐔𝐍𝐄𝐒𝐒𝐄 | 𝚔.𝚖𝚋𝚊𝚙𝚙𝚎 [I]

cent-vingt.

(il y a un très loooong message à la fin🥲)

Keliyah — On peut clairement dire que je n'ai pas eu la vie facile... j'ai une histoire qui est plutôt assez originale même ! Et mon histoire est devenue encore plus loufoque quand j'ai eu 19 ans. J'ai traversé énormément de choses, j'ai donné la vie, j'ai retrouvé plusieurs personnes qui m'étaient chers, j'ai énormément souffert, j'ai exploité beaucoup d'émotions et de sentiments que je n'avais eu auparavant mais tout ça m'a forgé... tout ce qu'il s'est passé a fait de moi, la femme, la mère, la fille, la petite-fille, la sœur, la cousine et la tante que je suis à présent. Aujourd'hui je suis l'élève de hier et mon histoire ne sera que meilleure car j'écris le dernier chapitre de ma vie.

AMOUR DE JEUNESSE
THE LAST CHAPTER OF KELIYAH.

Un an après.

Amina — Moi, je comprends pas pourquoi l'école garde pas les enfants pendant les grandes vacances.

Keliyah — Parce que ce sont les vacances peut-être ?

Amina — Mais justement... qu'ils fassent les vacances tous ensemble au moins ils perdent pas contact.

Becca — Pourquoi depuis que tes deux enfants sont à l'école t'es comme ça ?

Amina — Parce que depuis que Nahel et Syana sont à l'école, je me souviens qu'il existe le silence dans la vie !

Nellya — Une mère trop aigrie à mon goût.

Amina — Depuis que les jumelles vont à l'école, tu ne goûtes plus à la paix Néné ?

Nellya — Non, parce que j'ai eu la belle idée de vivre dans une résidence privé avec toute ma famille.

Keliyah — Ça me manque moi d'avoir les enfants à la maison...

Becca — Orgh, la mère nostalgique.

Keliyah — Arrête !

Amina — Si les enfants te manquent, fais-un bébé... on te connaît pour être fertile.

Je n'avais pas pu m'empêcher de rire à sa remarque.

Keliyah — Avant de retourner en salle d'accouchement, laisse-moi aller devant l'autel chérie. dis-je en lui montrant ma bague.

Nellya — Mais t'es pas traumatisée des hôpitaux ?

Becca — De fou ! Normalement quand t'accouches, tu ressors avec un bébé. Toi t'étais ressorti avec ton bébé, ton mec qui se barrait à Madrid et ta mère qui était morte.

De là, nous avons toutes eu un fou rire. 2020 était une sacrée année quand même pour moi sans oublier le covid.

(j'écris le point serré, moi aussi je veux revivre sans le covid)

Amina — On a bien fait de laisser les garçons s'occupaient des enfants aujourd'hui.

Nellya — Il y a que Tchaga et Jason tu le sais ça ?

Amina — Oui... ils méritent de souffrir aujourd'hui.

Vous voulez savoir ce qu'il s'est passé en un an chez les Campbell et compagnie ?