- sanji!!!
J'ouvris les yeux, ma respiration saccadée, des gouttes de sueur perlaient sur mon front, je me redressai subitement, ma main sur mon cœur.
J'ai encore fait ce rêve.
- À vrai dire...
Je me lève, et me dirige vers la salle de bain.
Mon reflet dans le miroir avait pas mal de cerne.
Je crois que ma conscience a mal digéré le fait que je sois me fait jeter.
Je lésa un rire ironique s'échapper de mes lèvres, avant de me préparer.
Cette journée sera très exigeante. Comment je le sais ? Simple intuition.
Jogging noir, casque et musique, sans oublier la capuche par-dessus, je me dirige vers le lycée.
Pour tout dire, durant les deux semaines pendant les lesquels j'ai soigneusement éviter mes amis, je me suis rendu compte de quelque choses... quelque chose qui malgré tout ce qui s'est passé, était décidément trop compliqué à comprendre pour moi.
Ou avais-je juste peur de comprendre, parce qu'après tout, n'est-ce pas égoïste de dire qu'on se sent spécial ?
Je ne sais pas si vous me comprendrez, mais... quand quelqu'un que vous aimez vous parle, vous sourit, vous dit des choses qu'il n'a sûrement dites à personne d'autre vous choisit vous parmi tant d'autres, pour faire des choses, des plus banale aux moins. Ne commencez-vous pas à vous sentir spéciale, et à vous poser des questions, du genre : et s'il, peut-être qu'il, il y a une chance qu'il... ?
Non ? Parce que c'est exactement ce qu'il met arriver. Car j'avais beau dire qu'il n'y ait aucune chance entre nous, que me declaré me libéra d'un poids, bien qu'une grande partie ne soit cela, l'autre était bien sûr l'espoir. L'espoir que ces petites attentions soit dû à l'amour.
Mais à l'expression qu'il avait abordé à la prononciation de ses quelques mots, que cet espoir avait réussi à me faire prononcer, le brouillard qui m'empêchait de voir autour de moi, c'était dissiper.
Et plus le temps passait, plus je remarquais alors en les regardants de loin, que notre relation n'avait rien de spécial.
Cette semaine est la dernière avant celles des examens, et il faut que j'arrange les choses avez eux. Je n'ai pas envie de passer toutes les vacances a culpabilisé et puis ils n'ont commient aucune faute qui mérite de se faire éviter, c'est moi qui me suis fait des films seul dans mon coin.
Le lycée venait à peine d'ouvrir, qu'un nombre considérable d'élèves y avais déjà pénétré. D'autres personnes préféraient rester dehors.
Et moi en ce qui me concerne, je préfère attendre l'approche de la fermeture pour y aller. Je m'adosa alors
sur un mur un peu éloigné de la foule.
Je pris mon smartphone et consulta la messagerie : 9 messages non lus.
Zoro:
Oi Usopp ça fait un bail, t'as disparu où comme ça ?
Robin :
Long nez tu es mort ?
Nami:
Usopp je te promets que si tu ne me réponds pas, la prochaine fois qu'on se voit je t'étripe.
Il continua à lire les messages, quelque peu ému, et cela, malgré la brutalité de certains, il se sentit rassurer. Finalement, ils ne lui en voulaient pas.
Ils s'inquiètaient.
Il n'avait pas reçu de message du blond, ce qui ne l'etonna pas, mais le fit qu'elle que peu de la peine ? Il n'en savait rien.
N'entendant plus personnes, et vu l'heure, même s'il n'en avait nullement envie, et aimait être ici, il fallait qu'il y aille. Mais quand il leva lourdement la tête et vu qui se tenait devant lui, il regretta amèrement de ne pas être parti plus tôt.
- tu comptais m'éviter toute l'année ?
Il aurait aimé faire le premier pas vers eux mais, le destin en avait choisi autrement.
- Sanji... je comptais venir te parler aujourd'hui. Je te le jure.
- oh, Vraiment.
Aie. Comment avait-il put croire que ça marcherait ? Cette phrase était bonne pour les menteurs de première.
Il vue le blond se rapprocher de lui, d'un pas décidé, alors qu'il cherchait désespérément les mots juste pour s'expliquer. Celui-ci de plus en plus proche de lui, il se mit à bouger ses mains, fessant des gestes qui ne voulaient absolument rien dire, mais espérait tout de même que le blond le comprenne.
Il s'était arrêté à moins d'un mètre de moi, désespéré, je me contentai de fermer les yeux. Prêt à encaissé tout se qu'il avait à me dire.
Mais au lieu de mots blessant ou pire...
Je sentis des mains chaudes se poser sur chaque côté de mon visage, et j'ouvris les yeux alors que sanji lui, fermait les siennes. Je le sentis posé délicatement ses lèvres sur les miennes .
Il m'enbrassait.
Hein ?
Je restai inerte face à cette situation. Quelque secondes, lésant sanji s'éloigner et pénétré l'ensainte du lycée.
Qu'est-ce qui vient de ce passé?
J'ai rêvé?
Je me dirigeais alors à mon tour vers le lycée, les joux rougie, et extrêmement troublé. Et ce depuis l'instant ou ses mains chaudes ont touché mon visage.
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Voilà ! C'est terminé pour ce chapitre, assez étrange d'ailleurs, parce que qu'ont se tous la question( je pense) du qu'est-ce qui s'est passé dans la tête de sanji pour faire un truc pareil.
On va sûrement le découvrir dans le prochain chapitre, à bientôt !
