# Partie 48 #

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# Partie 48 #

Après ça, j'étais épuisé du coup je me suis levé pour aller me coucher. Je marchais tranquillement en me dirigeant vers les escaliers quand j'entends la porte d'entrée s'ouvrir.

Je pensais c'était Maria du coup j'ai avancé en direction de la porte et là je vois qui entrer ?

Nûr et Moïse.

J'étais étonné ! Même plus qu'étonné ! Ça fait plus de 4 mois que je ne l'ai pas vu.

Décidément, aujourd'hui ça ne s'arrête pas.

Moi : T'es de retour d'un coup toi !

Nûr : 😒.

Décidément, certaines choses ne changent pas, j'ai un cousin malpoli qui sera toujours malpoli.

Il avance jusqu'à arriver à ma hauteur et je lui dis:

Moi : Tu peux me répondre imbécile ! Tu pars, tu ne donnes aucun de signe de vie pendant je ne sais combien de mois et là tu débarques à cette heure ci comme si de rien était. Tu penses que c'est normal ?

Nûr : Ne me fais pas chier, je suis fatigué ! Ça a toujours été comme ça, je pars quand je veux et je reviens quand je veux. Pourquoi tu fais ta chochotte ?

Ahlala, je pense qu'il ne va vraiment jamais changer, j'abandonne.

Moi : Je vais ignorer, il fait tard pour que je m'énerve ! Tu étais où tout ce temps ?

Nûr : Chez moi à l'étranger !

Alioune : J'espère que tu ne reviens pas pour emmerder Sabah avec les histoires de ton père encore. Elle a retrouvé un équilibre, ne viens pas tout foutre en l'air.

Nûr : 😒.

Il m'a complètement ignoré, chose qui ne me surprend pas. Moïse avance vers nous et me dit:

Moïse : Bonsoir monsieur Tandia, vous allez bien ?

Moi : Bonsoir Moïse, toi par contre, tu nous as manqué. Toujours serviable et souriant !

Nûr : Pas comme ton bulldozer. Bref, monte les affaires dans la chambre, je vais me doucher.

Moi : Attends, tu vas te doucher comme ça, tu penses que chez moi c'est un moulin ?

Nûr : Je ne le pense pas j'en suis sûr ! Moïse.

Moïse : Oui monsieur, je monte les affaires ! Monsieur Tandia, excusez moi.

Moi : Vas-y Moïse, vas-y.

Moïse : Merci.

Il monte et Nûr était sur le point de monter mais je lui coupe la route et il me regarde de haut en bas.

Nûr : À quoi joues-tu ? Je reviens d'un long voyage, j'ai besoin de dormir, tu crois que j'ai que ça à faire, à jouer au chat et à la souris ?

Moi : Tu vas avoir le temps d'y jouer ! Pourquoi tu es parti?

Nûr : Ce ne sont pas tes affaires.

Moi : Bah, pourquoi t'es revenu dans ce cas là ?

Nûr : Ce sont encore moins tes affaires ! Mais en revanche, moi j'ai une question !

Moi : Je n'y répondrai pas, malpoli !

Nûr : Ok, bouge alors, je monte.

Moi : Non vas-y, pose ta question.

Je me sens con mais il m'énerve quand il fait ça. Je suis trop curieux.

Nûr : Elle fait quoi ici ton bulldozer, tu ne l'avais pas envoyé à l'autre bout?

Sabah « La lumière de mon obscurité »  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant