Alpha Omega: God of All Things and All Abilities (La Saga Beugré Tome 1.1)

Chapitre XVI

Psaume 11:3 [FMAR] Puisque les fondements sont ruinés, que fera le juste?

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Ce divorce, te fera quitter la braise pour la lave. Le diable, est déterminé à vous détruire. Attends toi à ton SEIGNEUR. Cherche une réelle révélation de LUI, et tout le reste te paraîtra insignifiant. Même l'attitude de ton mari envers toi.

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Shalom shalom, c'est un immense plaisir de vous retrouver ! Le premier post était une erreur de manipulation. Nous sommes ravis, de vous avoir à nouveau, et contents, de lire vos impressions et commentaires ❤️.

Il y a une exhortation très importante en note du bas. Elle résume, la plupart, des chapitres déjà publiés. Celui-ci compris.

Soyons disposé(e)s avant de la lire, afin de saisir les révélations du SAINT-ESPRIT. IL donnera des révélations personnelles à certaines personnes, IL l'a assuré.

Bonne lecture !

PDV DE TAYARA

[ Centre Commercial, 17 heures 22 minutes. ]

- Dereck, non !

Je secoue la tête, indignée. Il roule les yeux avant de me retendre le parfum. Je m'attendais à un flacon, abordable. Dans l'excès, atteignant une trentaine de mille. Pas à une senteur rivalisant avec un rein, sur le marché noir !

Dereck :- C'est juste du parfum, Tayara.

- Un million deux cent milles pour un parfum, pointant l'étiquette. Quoi, croise les bras, l'odeur atteindra les nuages c'est ça ?

Dereck :- Tu exagères comme toujours.

Je renfrogne la mine, vexée. Comme toujours ? J'ai pourtant raison. C'est inutile un parfum aussi cher. En plus, l'odeur ne me sied pas.

SAINT-ESPRIT :- TU ES CENSÉE SENTIR COMME IL LE SOUHAITE, TAYARA. POURQUOI TU T'ENTÊTES AUTANT À REFUSER MES CADEAUX ?

Je...pardon PAPA. Je fais n'importe quoi depuis ce matin. Pardon s'il TE plaît.

Dereck:- Comme tu veux. Repose le flacon. La mentalité de pauvre te colle à la peau, sortant de la boutique.

Je cligne les yeux, incrédule. Un autre battement de cils, et il disparaît de mon champ de vision. Les hôtesses à quelques mètres de moi, détournent le regard. Sans doute, gênées par la situation. Je presse ma sacoche, les yeux humides : « la mentalité de pauvre te colle à la peau. ». Il vient de m'insulter face à ces inconnues. En plus, il est parti sans moi. La gorge serrée, je traîne mon corps hors d'ici.

Dans le haul, près des escaliers roulants, je tiens ma sacoche de la main gauche. L'autre, s'accroche à la rembarde de la machine. Mon corps et mes larmes, entament leurs descente. Si ça se trouve, tout le monde me regarde, me pointe aussi du doigt. Ils me traitent sans doute de pauvre fille stupide. Mon regard flou, scrute l'horizon. Main dans la main, un couple marche vers la sortie. Les multiples portes vitrées, éclairent encore le hall du Centre Commercial. Il n'y a pas de trace de mon mari. Dans l'air, flotte la délicieuse effluve de son parfum. Il est parti.