# Partie 70 #
: Bonsoir mademoiselle Djikiné, société SecurityLife. L' alarme s'est déclenchée à l'instant; je vous appelle pour vous en informer.
C'est une blague 😱.
Moi : QUOI 😱😱😱 ? Elle s'est déclenchée où ?
: Au *****, vous n'êtes pas sur les lieux ?
Moi : Non je ne suis pas sur les lieux, qu'est-ce qui s'est passé ? Qu'est-ce qui se passe, c'est un cambriolage ?
: Nous avons envoyé la police et il s'agit d'un vandalisme d'après les images de la vidéo de surveillance. La vitre principale a été brisée, nos équipes font le nécessaire pour la sécurité de votre établissement. Pouvez-vous vous rendre sur les lieux pour effectuer les démarches à suivre et porter plainte? Les force de l'ordre seront là dans peu de temps.
Moi : Je suis loin de mon entreprise.
: Ne vous inquiétez pas, tout a été filmé et on se charge de tout ! Si vous êtes couvert, dans ce cas là, contactez votre assurance; la police prendra votre déposition et vous devrez la transmettre à votre assureur avec votre déclaration de sinistre ! Les vidéos vous seront envoyées, rassurez-vous.
C'est un cauchemar, j'étais choquée ! Et au même moment, la porte s'ouvre et je vois Nûr.
Et il me dit:
Nûr : Je t'ai entendu crier, qu'est-ce qui se passe ?
Moi : Attends !
J'étais au téléphone avec le mec de la sécurité; il a pris le téléphone direct. J'étais sous le choc.
Il finit, raccroche et il me dit:
Nûr : Passe moi ton ordinateur 👿.
Moi : Tu vas faire quoi ? L'équipe de télésurveillance m'a dit que la police se rend sur les lieux.
Il ne m'a même pas calculée; il a pris mon ordinateur et je ne sais pas il a trafiqué quoi mais il a retrouvé les vidéos et j'hallucinais ! Ils ont cassé la vitre gratuit et tagué les murs, j'étais sous le choc ! Pourquoi ?
Nûr : C'est qui ces chiens ? J'espère que ce n'est pas cette conasse de Simina parce que je vais la brûler vivante 😡👿.
Moi : Calme toi, ce n'est que du matériel; l'essentiel c'est que je ne sois pas là-bas ! Mais je ne comprends pas; qu'est-ce qu'il y'a écrit sur les murs ?
Nûr : On verra ça plus tard ! Il est hors de question que tu retournes travailler.
Moi : Mais, si je ne travaille pas, comment je vais vivre ? Il est hors de question que je dépende de toi.
Nûr : Mais, tu ne vas pas aller travailler dans ces conditions ! Déjà, on doit trouver les personnes qui ont fait ça et pourquoi.
Et je vois il prend son téléphone et je lui dis:
Moi : Tu fais quoi ? T'appelles qui ?
Nûr : Moïse.
Moi : Non, ne le dérange pas, laisse le profiter, je t'en supplie. De toutes façons, on ne peut rien faire, le mal a été fait. La police est déjà sur les lieux; ils vont me contacter. S'il te plaît, ne dérange pas Moïse, écoute moi. Toi même t'as vu, ils sont cagoulés.
Nûr : Ok mais je ne vais pas les laisser s'en tirer.
Moi : Ok.
Je n'étais pas bien, j'avais peur, je ne comprenais pas.
Mise à part Simina, je ne vois personne qui aurait pu s'en prendre à moi.
En plus, j'ai horreur de la police ! Me dire que je vais devoir aller dans un commissariat me rend malade.