# Partie 84 #

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# Partie 84 #

Qu'est-ce qui se passe ici ?

Quand il a entendu ces mots, il a lâché ma main et il a avancé vers lui ; j'ai cru qu'il allait le frapper. Et il lui dit :

Nûr : Mon Quoi ? Laisse moi rire, ne te mêle pas de ma vie. C'est clair ça pour toi ? Ne t'approche plus jamais d'elle. Plus jamais !!!

Amar : Tu as enfin une petite amie et tu ne veux pas que je m'approche d'elle ? C'est ma futur belle-fille, on devrait faire connaissance tu ne penses pas ?

Nûr : Bizarrement, aujourd'hui tu t'es réveillé en te rappelant avoir un enfant ?  Elle est où ta fabuleuse famille ? Épargne moi tes retrouvailles calculés à deux balles.

Amar : Parle moi correctement.

Nûr  : On y va, avance, Sabah.

Moi : Oui.

Amar : Enchanté d'avoir fait ta connaissance ma belle-fille.

Moi : D....

Nûr  : Ce n'est pas ta belle-fille ok ! Ne t'approche plus jamais d'elle ou de moi. C'est clair ? C'est toi qui as décidé de rompre les liens, assume les conséquences et ne t'immisce plus dans ma vie. C'est la première et dernière fois que je t'avertis.

Et on avance pour sortir du restaurant. Une femme magnifique apparaît devant nous et elle avait l'air de connaître Nûr !

Elle a à peine eu le temps de lui dire A qu'il l'a regardée avec un regard à faire froid dans le dos. Il l'a poussée et on est sorti.

Il marchait super vite et serrait mon bras comme un fou.

On arrive dehors et il continue à avancer super vite en serrant mon bras.

Je l'appelais pour qu'il s'arrête mais il m'entendait à peine alors j'ai crié :

Moi : NÛR !!!!

Nûr : QUOI 😡 ?

Moi : Tu me fais mal.

Et il s'arrête; regarde mon bras et réalise qu'il est entrain de me le broyer. Il me lâche direct et me dit:

Nûr : Désolé.

Moi : C'est rien, calme toi. Pourquoi tu es autant énervé ?

Nûr : Pour rien, oublie. Qu'est-ce qu'il t'a dit ? Qu'est-ce qu'il t'a fait ?

Moi : Rien, rien du tout. Il s'est présenté et m'a demandé comment je m'appelais. Je lui ai dit mon prénom; j'ai à peine eu le temps de dire mon nom que tu es arrivé.

Nûr : Ne lui adresse plus jamais la parole. N'adresse pas la parole aux inconnus !

Moi : Mais c'est vraiment ton père ?

Nûr : Ignore le c'est tout.

Moi : Nûr, qu'est-ce qui ne va pas ?

Nûr : Rienw oublie !

Moi : Comment tu veux que j'oublie ? C'était qui cette femme ?

Nûr : Personne d'important ! Tes clefs, je te ramène.

Moi : Tu ne veux pas me parler.

Nûr :.....

Moi :....

Il était en furie, je ne voulais pas en rajouter. Je lui ai passé les clefs et je lui dis:

Moi : Calme toi, je ferai ce que tu as dit. Si tu ne veux pas que je leur adresse la parole, je ne le ferai pas ok. Alors calme toi et rentrons.

Sabah « La lumière de mon obscurité »  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant