TON AMOUR REMPLI DE MENSONGE

CATASTROPHE / NAISSANCE

Point de vue de Moreo : je bouillie presque de colère en voyant le journal papier du matin .
Je me vois afficher avec ma famille.
Je paye 1 millions aux journalistes l'année pour que ma vie reste un secret, même mes enfants ne sont pas connu, avant aujourd'hui.
Aucun journaliste ne peut me défier pour franchir cette règle de peur de perdre son boulot donc c'est sûrement quelqu'un de ma maison .

Moreo : qui a fait ça.

Point de vue de Moreo : demande je à ma famille, d'habitude quand je tonne comme ça tout le monde se tait , c'était le cas.

Moreo : je veux une réponse et la personne sera sévèrement sanctionnée. Vous avez oublié la règle oui ou non ?
Cassie : pa..
Moreo : je veux une réponse immédiate.
Victoria : ne cries pas sur eux , c'est moi qui ai fait ça.

Point de vue de Moreo : je m'attendais à ce que ça soit Cassie ou même Devann pour se venger mais pas Victoria.
Alors ma colère s'accentue juste en pensant que Gaïa pourrait voir ça.
Je quitte la table comme une furie .
Je passe quelque coup de fil et on me promet de retirer ça en moins d'une heure.
Dire que entre moi et Gaïa ça ne va plus trop je ne peux pas m'imaginer qu'elle voit ça.
10h , je prends ma voiture vers chez elle, à cette heure sa mère n'est pas là, y'a que Sam si elle vient bien sûr.
Je prends la peine de lui acheter ce qu'elle aime.

Moreo : bonjour.

Point de vue de Moreo : lance je en entrant dans sa chambre.
Elles regardaient Netflix .
Son regard me dit rien de mauvais hormis la querelle d'hier mais par contre l'insistance avec laquelle m'a regardé Sam avant de nous laisser me dit beaucoup.

Je suis encore énervé contre Moreo à cause de la querelle d'hier mais à quoi bon , il est sûrement là pour s'excuser.
J'arrive pas à croire que hier j'ai levé la main sur lui.
Il retire ses chaussures et sa veste avant de venir s'engouffrer dans mon lit, il me serre fort et m'embrasse mais je reste ferme.

Moreo : bébé ?
Gaïa : hum ?
Moreo : pardonne-moi veux-tu ?
Je ne te parlerai plus jamais comme ça.
Gaïa : okay.
Moreo : okay c'est bref , dis-moi que tu m'as pardonné et que tu n'as rien contre moi .
Gaïa : je n'ai rien contre toi .
Moreo : merci, comment vas mon fils là dedans ?
Gaïa : il va bien. De plus en plus turbulent.
Moreo : c'est un vrai Ben . Tu me manques Gaïa, récemment on n'arrête pas de se prendre la tête, je ne veux pas de ça maman.
Gaïa : tu y es toujours pour quelque chose.
Moreo : je sais, je sais ... je t'aime trop que je ne gère plus certaines choses.
Gaïa : d'accord.
Moreo : t'es affaiblie, je vais t'emmener à la plage demain.
Gaïa : ça me fera du bien.

Je me tourne enfin pour lui faire face et constante de la peur dans ses yeux.
Il a peur de quoi ?

Gaïa : tu as peur de quoi ?
Moreo : que tu me détestes, c'est même une phobie.
Gaïa : te détester pourquoi ? Tu crois que j'en arriverai là ?
Moreo : non , je veux juste que tu m'aimes.
Gaïa : je t'aime bébé, encore aujourd'hui plus qu'hier .
Moreo : je t'aime aussi ma princesse.
Gaïa : excuse-moi pour demain je suis allé trop loin .
Moreo : c'est rien, je l'ai bien mérité.

Point de vue de Moreo : après quelque une heure, mon bras droit m'appelle, je sortis de la chambre de Gaïa pour m'en aller quand je vois Samathan toujours de la piscine fumant la chicha , elle est bizarre aujourd'hui.