Chapitre 6

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-Très drôle . . . dit-je anxieux et triste.
-Tu vas bien ? dit-il en se rapprochant de moi pour m'observer de plus près.
-j-Je . . . Ne t'inquiète pas ce n'est pas d'une grande importance.
-Quel est le sujet ?
-. . .
-Je suis désolé j'ai forcé
-. . . des tremblements apparaît avant des larmes et un menton qui tremblote .
Ne sachant pas comment réconforté son amis, il lui fit un câlin .

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Pov Luka

-Luka, je n'aime pas forcé. . .
-Mais tu t'inquiètes pour moi.
-Luka. . . s'il te plaît, explique moi au moins une partie de tes problèmes
-Je crois que je vais boire un peu d'eau.
-Lulu...

C'est la première fois qu'il me donne un surnom, je l'accord que c'est peu original.
Mais voir cette complicité me fait plaisir.

-Adrien, c'est quelque chose de ridicules.
-Les yeux ne trahissent jamais.
-j-Je sais, ne t'embête pas avec ça.
-Lu- (Luka)
-Tu veux que je te sert quelque chose dis-je avec une voix faussement heureux.
-. . .
-Je prend ça pour un non.
-Je vais prendre juste de l'eau, merci.
-D'accord, ne t'inquiète pas pour moi .
Le regard qu'il me lança était sceptique.

-adri-Adrien, si je te dis un petit peu, tu vas plus t'inquiété.
Je suis vraiment bête, il est sûre, qu'il va s'inquiété plus comme ça. 
-Oh final, oublie.
-C'est à quel sujet ? Au moins dit moi ça, je peux peut-être t'aider.
-Le plus simple c'est à propos de moi.
-Alors commençons par celui-ci !
-. . .
-Luka, je sais je force un peu, mais il est hors de question que tu ailles aussi loin comme hier quand tu t'es fait mal à cause de l'akum-. . . (akuma)  Mais attend ta tête, elle va bien !?

-Oui ne t'inquiète pas, j'ai pu m'en sortir.
-Laisse moi voir.
Il m'avait prit ma entre ses mains, pour m'obliger à baisser la tête.

-l-lu-Luka ! t-Tu saignes et pas qu'un peu !
-C'est pas si grave, je suis toujours conscient.
-Luka, on va à l'hôpital. . .
-Prend pas une voix aussi gr- (grave) Aïe !

-Luka on y va maintenant, passe ton téléphone.
-Mais ton garde du corps ne répond qu'à ton numéro.
-Je vais l'harcelé d'appelle tant qu'il ne décroche pas.
Il m'arracha le téléphone des mains avant de faire le processus de forcing.

-Mais pourquoi tu t'obstines c'est bon  un doliprane et je suis tout neuf !
-Ne me fait pas le coup du bluff.
-Mais voyons soit pas si inquiet tu vas te faire du mal.
-Tu veux te faire la mâle ?
-Pourquoi tu dis ça, je suis pas encore pâle !
-Tu évite d'aller à l'hôpital.
-On a le temps !
-Dieu sais, comment tu peux être affligeants .

Après des longues minutes le garde du corps répond.
-Enfin, il faut que tu nous emmènes à l'hôpital, s'il te plaît !
-Monsieur Adrien ?! Que ce passe- t-il ?
-Mon ami est blessée, à la tête.
-J'arrive au plus vite.

-Luka, reste là, je vais cherchés  des bandages dans mon sac.
-Je vais bien !
-Reste ici, et ne fait rien !
-D'accord. . .

C'est dans un soupir, qu'Adrien courut chercher son sac.
Avant de bander la tête de Luka.

-Lulu. . . Ne me fait pas de coups comme ça.
-Tu t'inquiète pour rien, je vais, croire que tu es amoureux de moi. dis-je en ricanant.
-Ce ne serait pas pour te déplaire, n'est ce pas ?
-Je peux rien te cacher, quel perspicacités.

-Je te trouve dissipés. . . dit-il avant de prendre un semblant de coup de mou.
-Désolé. . . je voulais pas t'offensé.
-Argh, je vois que tu t'arrête jamais, c'est pas nette.
-D'accord, j'arrête.
-Qu'est-ce qui t'attire chez moi ?
-AaAh ! Tu t'arrêteras jamais !
-Tant que j'ai pas la réponse, non.

-Je dirai rien !
-Alors je vais te forcé avec des chatouilles !
Après des seconds à le chatouillé qui durait des heures pour Luka.

-Je suis désolé, d'accord d'accord je me rend.
-Tu vas faire quoi ?
-Je vais te le dire, tu peux arrêtés s'il te plaît, j'en pleure !
-Voilà, j'aime bien entendre ceci !
C'est tant baissant la tête qu'il commença à expliquer son coups de cœur Adrien.
-Pour commencer ta voix, dit-il d'une petite voix.
-Tu peux parler plus fort !
-Argh, on est pas seule tu le sais !
-Oui, et je veux l'entendre plus fort.
-J'aime entendre ta voix! C'est bon, je peux passé à autre chose !
-Oui, c'est bon.

Une voix fine qui les prévenues de pas faire de choses cochons.
-Maman !
-Je vous laisses les amoureux !
-Maman !
-On dirait qu'elle te fausse compagnie.
-Adrien, franchement tu veux vraiment me gêner à ce point.
-Même faire apparaître quelque chose.
-Non ! Arrête de me taquiner.
-D'accord. Continue

-Tu as l'air très sociale, sens trop l'être, mais ce qui me charme c'est que tu es très expressif.
Mais d'une élégance sans nom, même si t'es taquin.
-Wow . . . Je suis flattée je vais devenir égocentrique si ça continue.
-Tu vas avoir la tête plus grosse que la terre quand je vais tout te dire.
-Alors continue !

-Tu n'es pas  comme les autres stars.
-C'est à dire ?
-Tu es loin de nous prendre  haut.
-Car je n'aime pas trop me frotté au star.
-Tu es fragile.
-C'est pas un compliment.
-Pour moi, c'est un compliment, tu es le plus humain de nous dans l'école.
-Tu es fascinant toi aussi !
-Je Euh . . .
-Ben alors on rougit  ?
-Aaah ! Adrien arrête ! tu n'arrête pas de taquiner j'en peux plus.
-Je n'arrive pas à m'empêcher .
-Tu n'es pas aussi taquin avec Marinette .
-Je crois que j'ai pas le le même feeling avec elle, qu'avec toi.
-Je suis flattée dit le bleuté complètement rouge et surpris.

-Ah ça, je l'ai vue.
-Je t'interdit de venir me dire des choses aussi. . . 
-Gênant pour toi, mais pour moi je trouve ça normal.
-Comment ça.
-Je crois que je suis finalement pas amoureux de Marinette...

-Tu as prit un truc pas frais laisse moi te donner l'eau que tu étais censé avoir.
-Je suis pas ivre.
-Je- euh.
Après qui à dit que c'était moi, il peut bien me taquiner  en pensant que ce n'est pas méchant.

-J'ai mal à la tête. . . Je vais m'allonger.
-Je vais te vais te chercher une couverture.
-Merci, mais je vais m'en sortir.

-Monsieur ? êtes-vous là;
-Oui ! Je suis là, viens Luka, on va vite à l'hôpital.

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983 mots

Mon petit est ton petit coeur. [Lukadrien]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant