La guerre est devenue un jeu d'enfants,
Elle nous envoie aux étoiles perdues.
Croyons aux rêves même s'il faut être désinvolte.
N'ayons l'air de rien qu'ils disaient.
Qui crient dans la rue ne parlent pas de révolte,
Plus un faux projet qu'ils appellent un succès.
L'équilibre est fragile en êtres.
Leurs ombres se battent à la périphérie,
À travers les comètes.
Les fautes, toujours à en commettre.
Les pendules, sans s'entrave, circulent.
Il se peut qu'arrive la limite,
Noyée dans le cœur des foules.
La psychologie avance puis n'obtient rien.
Mais la peine, elle, revient.
C'est dans nos larmes que l'on s'écoule.
C'est dans nos rêves que l'on se saoule.
Alors brulons nos croyances,
Mark nous a devancé.
Crions comme ces gueux qui n'ont de cesse de s'aimer
Pleurons comme eux une fois qu'ils acceptent leur France.
En silence encore et en code,
Un message caché dans leur police prisonnière.
En silence, sonnant la révolte.
Ils peuvent crier leur loi, sous disant de plein droit,
Se morfondent, errants, souscrirent à un sens.
En silence encore et en code,
Un message caché dans leur police prisonnière.
En silence, sonnant la révolte.
Ju - 22 janvier 2024
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Quand les fleurs se fanent
PoetryDans ce recueil de poèmes, j'explore l'art des rimes tout en tissant des récits qui parcourent toute la gamme des émotions. Les pages de ce livre dévoilent des histoires, tantôt empreintes de joie éclatante, tantôt empreintes de mélancolie profonde...
