Il n'y avait pas de Nick sans Ella, et il n'y avait pas de Ella sans Nick.
Et même si elle était contre les gangs et toutes les activités dangereuses auxquelles Nick participait , elle restera toujours à ses côtés. Mais au fil du temps, les sentimen...
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C'est avec une migraine atroce que je me rendais au travail, les lunettes recouvrant mes yeux sensibles à n'importe quelle chose se rapprochant de près ou de loin à la lumière. Je rentrai dans mon bureau avant de refermer violemment la porte, laissant le claquement de se dernier résonner entre les quatre murs de la pièce.
— Wow, quelqu'un s'est levée du pied gauche à ce que je vois, résonna soudainement la voit de Nick, assis sur le canapé à l'autre bout de la pièce, m'arrachant un hoquet de surprise.
— Dois-je te rappeler les règles ? M'irritai-je en déposant mes affaires sur ma table.
— M'occuper uniquement de mes affaires et te parler qu'en cas d'extrême nécessité? T'inquiètes chérie, je connais la leçon par coeur. Je voulais simplement te donner ce médicament et ce café puisque tu as l'air d'en avoir bien besoin mais vu ton manque d'hospitalité...
— C'est bon la ferme, dis-je en m'emparant de mes sauveurs que j'engloutissais à une vitesse grand V. Maintenant toi et moi il faut qu'on parle.
— Pourquoi à chaque fois que j'entends le son de ta voix c'est toujours pour dire cette même phrase encore et encore, râle le brun.
— Je suis sérieuse Nick.
— Moi aussi. Arrête avec cette phrase, ça devient pénible. En plus, ce n'est pas toi qui a dit qu'on ne devait se parler qu'en cas d'extrême nécessité ? Me nargue-t-il.
— Et ça l'est. Trouve un moyen de changer de partenaire. Toi et moi on ne doit pas travailler sur la même, dis-je tandis qu'il se contentait de se lever, un ricanement (adorable) s'échappant de ses lèvres.
À chaque fois qu'il fit un pas vers moi je reculais, sa tentative rapprocher nos deux corps ne marchera pas avec moi. Cependant je dus abandonner lorsque je sentis mon dos heurter un des murs de la pièce, m'empêchant d'échapper à mon destin. Nick déposa sa main sur le mur, comme pour m'empêcher d'aller quelque part, et réduit tout espace qui pouvait nous séparer jusqu'à présent jusqu'à ce que je sente son souffle sur ma peau.
— T'as peur de rester seule dans la même pièce que moi chérie? T'es sûre que c'est parce que je t'insupporte ou plutôt parce que... t'as peur de ce que ton corps serait capable de faire si tu venais à perdre le contrôle.
L'air se fit plus rare dans mes poumons tandis que mes yeux se posèrent inconsciemment sur l'objet de mes désirs. Ses lèvres. Je me raclai la gorge pour éclaircir mes pensées et détourna mon regard.
— J'aimerais que tu t'éloignes Nick.
Malgré le fait que son visage n'était pas dans mon champs de vision, je pouvais sentir sa déception lorsqu'il s'éloigne finalement à contre coeur.
— Je ne te l'ai pas encore dit mais t'es magnifique dans cette robe, dit-il avant de s'isoler de son côté.
