Chapitre 68

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Pas de mécanique pour moi aujourd'hui. Enfin, en ce qui concerne ma future voiture, j'en suis pas encore à la mécanique, là, c'est plus atelier carrosserie en ce moment. Je travaille toujours sur le châssis pour lui donner une forme plus... moi... Il faut que ce soit parfait avant d'accueillir un moteur d'exception. J'ai trouvé un vieux moteur de Chevrolet impala V8. Bien sûr, il y a du boulot dessus, mais il y a de bonnes bases. Mais je m'égare là.

Aujourd'hui, je ne vais pas à l'écurie parce que c'est un jour spécial, c'est l'anniversaire de mon mari. Lui aussi a pris sa journée pour le programme surprise que je lui ai réservé. Il n'a cessé de m'en faire depuis son retour, alors cette fois, c'est mon tour. Et la journée commence avec le petit déjeuner au lit. Je suis allé lui acheter des croissants tout chauds. J'ai d'ailleurs dû prendre sur moi pour ne pas tous les manger en route. L'odeur était vraiment très alléchante et j'ai tout le temps faim. Mais j'ai tenu bon et là, je viens les dresser sur un plateau avec une bonne tasse de café, un verre de jus d'orange fraîchement pressé et une petite salade de fruit.

J'entre dans la chambre et dépose le plateau sur la commode. Doucement, je laisse glisser ma bouche dans le cou et sur le torse de mon homme. À son sourire, je vois qu'il ne dort plus, j'embrasse alors ses délicieuses lèvres chaudes et gourmandes.

Moi : Bon anniversaire Chéri.

Je commence à m'écarter pour lui donner le plateau du petit déj, mais il me retient.

Grant : Où tu comptes aller comme ça ?

Moi : Pas bien loin, t'inquiète.

Je l'embrasse à nouveau et m'extrait de ses bras pour lui donner le plateau. Il sourit et ne se fait pas prier pour mordre dans un croisant. Mutine, je me glisse entre son dos et la tête de lit et caresse ses larges épaules en embrassant sa nuque. Bien sûr, ce serait plus pratique sans mon gros bide, mais bon. J'ignore si c'est parce qu'elle sent mon excitation et mon envie pour Grant, mais Sari s'agite dans mon ventre. Là, je vois mon mari avec sa tasse de café à mi-chemin entre le plateau et sa bouche.

Moi : Ca va pas Grant ?

Grant : Je l'ai senti... contre mon dos, j'ai senti le bébé bouger.

Il retire le plateau de ses genoux et le pose à même le sol avant de tirer sur mes pieds pour que je m'allonge sur le lit. La main sur mon ventre, il lui parle.

Grant : Tu bouges encore pour papa ma princesse.

Mon ventre se déforme légèrement sous le coup que donne le bébé et les yeux de Grant s'illuminent.

Moi : Il semblerait que même ta fille veuille te souhaiter un bon anniversaire.

Il embrasse mon ventre avec douceur, puis sans me lâcher des yeux, ses mains remontent mon débardeur pour me le retirer.

Moi : Le sexe était au programme de la journée, mais je pensais te faire un long massage avant.

Grant : J'adore sentir ses mains sur ma peau, mais je te veux et maintenant mon cœur.

Moi : Tes désirs sont des ordres.

Il m'embrasse avec passion et finit en mordillant légèrement ma lèvre inférieure. Nos vêtements ne sont bientôt plus qu'un tas au pied du lit. Bon, pour lui, c'est allé vite puisque qu'il ne portait que son boxer. Sous ses caresses et ses baisers, je me transforme en une boule de désir. Je suis à deux doigts de la combustion spontanée tant j'ai envie de lui. Chacun de ses effleurements est un délicieux supplice qui m'arrache un gémissement. Son gland taquine mon bouton de chair. Sa virilité glisse le long de ma féminité humide sans jamais me pénétrer. C'est une torture. Tout comme ses dents qui mordillent mes tétons durs et sensibles.

Je serai pilote de courseWhere stories live. Discover now