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On pourrait parler deux minutes que le 3 et le 8 sont pas du tout à la même auteur wtf? Ou alors c'est juste mon tel??
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Cela faisait une semaine que j'avais repris connaissance, c'était les vacances de février, donc mes amis et moi avions pu profiter.

J'ignorais complètement Matthéo, pourtant je sentais toujours sont regard sur moi. Je me déteste d'aimer le faite qu'il me regarde mais vas-y, regarde moi bien, je ne céderais pas.

Une petite règle me frappa le crâne.

-Miss Coper, je vous ai posé une question mais je vois que quelques choses de plus intéressant trotte dans votre tête.

Je leva les yeux vers notre professeur.

-Désolé monsieur... les raviolis de ce midi m'ont hypnotisé.

Des rires s'élevèrent dans la salle, Pansy en faisait partie. J'entendais ses ricanements devant moi.
Je vis dans le coin de l'œil qu'un petit rictus venait de se former sur les lèvres de Matthéo.

Le professeur Slughorn soupira.

-Miss, ce n'est pas parce que vous venez de sortir d'un "coma" de 2 mois que vous devez perturber toute la classe.

-Excusez-moi, sauf votre respect, je ne dérangeais personnes avant que vous n'interveniez?

Il se dirigea vers son bureau et retourna son sablier.

-Juste ciel... soupira-t-il.

Je pouffa discrètement de rire, en évitant qu'il ne m'entende.

-Je te ferai autant de raviolis que tu le voudras si t'acceptes de m'écouter pendant 5 minutes.

Les lèvres de Matthéo était si proche de mon oreille que je sentais son souffle sur ma peau.

-Ce n'est pas avec des raviolis qu'on achète une deuxième chance.

-Je n'ai pas besoin d'une deuxième chance, je n'ai pas encore gâché la première.

Le culot en une personne.

-Vas te faire foutre Matthéo, tu m'as laissé seule, alors que tu savais très bien ce qui allait arriver, c'était évident que ces trois là n'étaient pas là pour prendre le thé et discuter potins. Ta chance, tu l'as gâché des lors que tu as haussé les épaules, comme ci je n'étais qu'une moins que rien qui ne méritait pas que tu la sauves.

-Tu ne sais même pas où je suis aller, merde Hanna tu ne sais rien et tu en tires des putains de conclusion.

-Vous deux au fonds, taisez-vous par Merlin! s'emportât Slughorn.

-Je sais très bien où tu es aller, d'ailleurs apparemment tu t'es fait un plaisir de baiser trois millions de meufs pendant que je dormais, c'est claire, tu n'as rien à te reprocher! sifflais-je.

-Crois ce que tu veux, la dernière meuf que j'ai pénétré c'était toi, y'a eu que toi depuis.

Le professeur soupira.

-Sortez de mon cours, vous me fatiguez... soupira notre professeur.

Je pris mes affaires avec rage et sortie de la salle. Je le sentis marcher derrière moi, j'accéléra le pas, mais il me rattrapa.

𝑫𝒐𝒏'𝒕 𝒇𝒐𝒓𝒈𝒆𝒕 𝒘𝒉𝒐 𝑰 𝒂𝒎 {𝕸𝖆𝖙𝖙𝖍𝖊𝖔 𝕽𝖎𝖉𝖉𝖑𝖊}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant