Chapitre 14

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C'est pas vrai... C'est quand je sens un rapprochement qui peut se terminer par un baiser que Madame arrive...

-Monsieur, je vous prie de me suivre en urgence.
-Je suis désolé,je dois y aller.
-Je parlais plus précisément de Monsieur Luka, malheureusement.
-Comment ça, malheureusement ?
-Suivez moi, vous allez vite comprendre.
-Adrien, tu peux venir, je sens j'aurais besoin d'un soutien émotionnel.

Je le savais, je le sens, que la chose qui m'attend était la chose que je redoutais le plus.

-Je pense avoir mon idée...  Mon père à dû relayé au journaux.
-Je sais pas, je l'espère pas, et j'espère que ta vie personnelle restera personnelle.

C'est en descendant les escaliers que je vis... Mes amis terrifié, les regards se détournait de moi que je les regardaient.
-Vous pouvez m'expliquer pourquoi vous êtes s-i surpris ?
-La raison est pourquoi, tu as fait ça !
-Fait quoi ?
-Embrassé Adrien, pendant qu'il dormait, ou encore que tu harcèles des gens  !
-Attend, attend, de 1, de quoi tu me parles , je suis jamais aller dormir chez lui et de deux, je n'est clairement pas le temps d'harceler, et pourquoi tout d'un coup tu dis ça , chloé.

-Euh, Lu' ... Mieux vaut pas tu regardes tes réseaux.
-Mais pourquoi ? Vas-y ça ma intrigué.
 -Je composa mon code avant qu'une mains se plaque sur mes yeux.
-Je suis sérieux frérot, là c'est vraiment chaud.
-Je veux savoir, de toute les manière je vais tôt ou tard savoir, mieux vaut que ça soit maintenant.

Le temps que j'ouvre l'application, le chauffeur arrive en courant, alarmant qu'une grosse foule essayaient d'enter .

-Quoi, laissez moi regarder les infos, ça doit pas être si terrible.

Quelle erreur, de débutant... Je me suis fait assommer de message, d'appel c'est quoi ça....
-PUTAIN C'EST QUOI CE BORDEL POURQUOI J'AI DES TAS DE MENACE DE MORT !
-Monsieur, nous devons bouger en vitesse, la foule est extrêmement  furieuse.

-Les groupes ce précipita dans la chambre de Adrien.
-Ta chambre n'est pas un grand luxe...
-Chloé ce n'est pas le moment,  fait silence !

Le groupe ce cacha à l'étage de sa chambre.
On entend des casses, beaucoup de casse.
Le groupe pendant ce temps était horrifié, des personnes s'enlaçait, d'autre lisait des livres avec la mains tremblants,espérant se détendre.

Mais une personne en moins de deux avait toutes leurs attentions, c'était  Luka.
Il regardait les commentaires, les infos, il en devenait pâle, sa respiration était plus rapide.
-Luka, je suis là, tu m'entend, ne t'inquiètes pas, tu vas pas mourir.
-ᶜᵒᵐᵐᵉⁿᵗ ᵛᵉᵘˣ-ᵗᵘ ʲᵉ ʳᵉˢᵗᵉ ᶜᵃˡᵐᵉ, ᵗᵒᵘᵗ ˡᵉ ᵐᵒⁿᵈᵉ ᵛᵉᵘᵗ ᵐᵃ ᵐᵒʳᵗ
-Frérot, je suis là, vient à coté de moi.
-Les trucs que vous avez énumérez c'était les plus soft de rumeurs, j- je vais faire quoi maintenant, des fous furieux sont à mes trousses, je n'ai pas échappatoire, maman, est surement en danger, et  tout ça à cause de mon père, juste parce que il voulait pas d'un fils comme moi, qu-est ce qu-

Sa soeur, elle, elle était là, elle le prit dans ses bras, elle savait qu'il allait pleuré, elle préféra l'arrêter ici, le réconfortant comme elle le pouvait. Toute la douleur qu'il a emmagasiné allait explosé.
-Lu' tu devrais lâcher se portable, tu souffrais déjà assez avant cette rumeur, ne te remet pas au plus bas.

Le regard du frère disait tout, le regard dans le vide, pas  once d'émotions transmise pas ces yeux. Il réfléchissait il doit trouver un moyen de les faire sortir de là.

-Luka ?
-J'essaye de trouver un moyen de s'en sortir, j'ai connu pire... Ne vous inquiétez pas.
Adrien, tu as une corde ?
-Oui j'en ai une mais vu l'étage où on situe, c'est pas possible de te sortir de là.
-Non on feras un leurre,j'espère que vous avez  un porte arrière.
-Oui, mais je ne sais pas si on pourra l'atteindre.

-Prenez des livres des housses de coussin  prenez le plus possible.
Le plan c'est de les attacher ensemble
-Ben tu vas faire quoi avec.
-J- Il la regarda avec incompréhensions.
-Une personne arrive... non des personnes arrivent.
-Tout le monde à terre, et pas de manière.

Les intrus entrèrent, avec un sourire éclatant. C'est la chambre de Adrien.
-Personne au rez de chaussé, on monte.
C'est au dernier moment, un bruit les distraient.

-Putain, UN vilain j'en suis sûre, on va revenir plus tard.

-Ils sont partie.
-Heureusement que mes enregistrement sous inspirations des akumatisés m'ont servies.
-Merci, Monsieur .
-Papa tu nous a sauvé.

J'aurais tant aimé avoir un Papa comme ça, ne serais  qu'une journée...

-Nous devons vite  partir d'ici.

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Fin de chapitre

Mon petit est ton petit coeur. [Lukadrien]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant