Chapitre 25: Un presque viol

86 13 88
                                    

Le texte n'est passé que par une seule relecture, je corrigerai ça. Alors si il y a, (inévitablement et malheureusement) des fautes d'orthographe, de conjugaison ou autres, un grand merci de me le dire! 💋

Chapitre 25: un presque viol

"Dis moi qu'il n'a rien fait !''

« Il existe des personnes si incroyables, elles parviennent à camoufler leurs tristesse, oublier leurs problèmes pour résoudre celles des autres

Bonne lecture :3

''Quoi!? Comment ça?" s'écrie Bradley en levant inconsciemment le ton, à cause de la surprise. Ses sourcils se lève, ses yeux s'assombrissent et il me regarde perplexe.

Il veut tout savoir sur moi en une après-midi ou c'est comment?

''Laisse, rien d'important!"

''Le viol est le crime le plus terrible et inhumain au monde, pour info.''

''OK, je vais te raconte.'' je souffle un bon coup et dit; "Un jour je marchais dans la rue et je suis tombé, et du coup le par terre m'avait agressé. Voilà tout."

''Eli, tu me prends pour un con?" menace t'il.

''Pour un petit con.'' il me foudroi du regard un long moment. Pourquoi il veut savoir à ce point ?
Ne supportant plus ses prunelles insistantes sur les miens, je lance avec beaucoup de courage.

" J'avais quatorze ans quand j'avais décidé de sortir de la maison, une balade nocturne me tantait trop. J'ai pris une veste et mes chaussures et hop, j'ai pas us de difficulté à sortir étant donné que mes parents, après le travail sont totalement épuisées et comme mort durant leurs sommeil. Noa, lui, il été chez un ami, non loin de chez nous et Théo n'était qu'un bébé. Donc je marchais entre les maisons en fesant attention à ne pas passé sous les lampadaires, question de ne pas se faire remarquer. Mais hélas, rien ne peut se passer sans problèmes. C'est la règle de la vie après tout. Et la, sans même que je comprenne de quoi s'agit t'il, ni de qui, ni pourquoi ou comment. Quelqu'un me plaqua contre le mur d'une violence douloureuse, chose qui été facile puisque j'étais déjà collé au mur pour éviter la lumière. Je n'ai pas us le temps de crier ma détresse ou me défendre et lui aplatir l'entre jambe qui met sa sale main sur ma bouche et me bloque les mains de l'autre, quant à mes pieds et la seule ressource qui me restais, il les tenais immobile de ses gros cuisses et quand j'essayais de me débattre il me gifla si fort que j'ai senti qu'une dent aller lâché (Brad ferme les yeux, comme si il pouvait, ainsi échapper a la réalité.) Mes larme commençait à coulaient, ne supportant ce spectacle que je vivais et naïvement j'espèrais que ce ne soit qu'un cachmard. Ce qu'on fait tous quand une difficulté montre le bout de son nez, pas vrai ? ( il hoche la tête) Bref, ce grand pervers a la laine pollué par l'alcool, débute la torture, d'abord par un baisé crasseu a m'en arracher les levres, après avoir retiré sa main de cette dernière. Il força l'accès jusqu'à ma langue tandis que moi j'avais envie de vomir et j'étais sur le point de m'évanouir, je ne supportais ni l'odeur de la bière ni la douleur de son entrainte sur mon cou, comme si sa langue dans ma bouche ne suffisait pas à me couper le souffle. Je ne voyais presque rien, l'obscurité m'empêchais a distinguer sa figure. Mais c'est quand il baladait la main jusqu'à mon bas du ventre, la fesant glissé sous le pull que j'ai compris que je n'allais pas m'en sortir de là sainte. Les goûtes salées qui ne cessait de tombées me brûlaient les joues, il leva mon haut dévoilant ainsi mon soutien gorge, j'avais coupé ma respiration, de peur de ce qu'il allait suivre, quand - "

Pas SimpleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant