거대한 ━━━ 𝐑𝐎𝐘𝐀𝐋
iseul détenait une horrible et désagréable
aversion envers prince et figure royal. mais
comme le destin est connu pour s'amuser des humains, là voilà fiancée à l'un d'entre eux.
𝑗𝑒𝑜𝑛 𝑗𝑒𝑜𝑛𝑔𝑔𝑢𝑘...
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( kim yerim est ae-chan )
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R o y a l ( chapitre trente-neuf ) - « les merveilles de l'amitié ! »
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point de vue d'iseul
Alors c'était véridique : on ce rends compte de la vrai valeur de chose, au moment où elle nous file entre les doigts. C'est ironique, avoir mis près de six mois à ce rendre compte de quelque chose de presque anodin pour les autres. Visiblement je suis aussi têtu et idiote que ce que disait mon entourage, je ne peux que les croire à ce stade. Je me demande à présent, à quel moment j'ai pu chuter pour ce qu'on appelle « l'amour ». Je ne vois pas quand est-ce que mon cœur a commencer à battre plus vite, que des palpitations dans ma ventre ne ce déclenche qu'avec un sourire de sa part ou un regard, quand est-ce que sa présence ce faisait indispensable. Peut-être que j'ai commencer à ressentir ça il y à deux ans, lors de notre première rencontre. Deux ans, c'est long. Mais ce qui me fait le plus de mal, c'est sûrement le fait que je n'aurais jamais l'occasion de lui dire ce que je ressens. Il est profondément endormie depuis des mois, et ma majorité arrive à grand pas. Si j'atteins mes dix-neuf ans, le « contrat » prend fin puisque nous ne serons pas marié ou même fiancé : je n'aurais plus aucune attache avec lui. Comment quelque chose que j'ai essayer d'éviter pendant tout ce temps, est devenu la seule chose à laquelle je peux m'accrocher ?
L'amour c'est idiot, et j'ai pas envie de devenir plus bête que je ne le suis.
— Je veux mourir, retentit une voix dans le magasin, tranchant le silence pesant qui régnait depuis de longues minutes.
Seul un fracas ce fait entendre à la suite de cette phrase, nous faisons sursauter Romane – étant celle qui venait de parler – et moi-même. Dans un geste synchrone, nous nous retournons vers la provenance du bruit, pour voir ma meilleure amie le teint livide et les yeux exorbités, un balais sur le sol, sûrement celui qu'elle tenait précédemment. Je lève un sourcil, intrigué devant la réaction un peu démesuré de Ae-Chan – même si j'ai quand même l'habitude avec elle – avant d'entendre le gloussement de la française.
— Eh, du calme ! Elle s'exprime de son accent un peu trop prononcés, c'était juste une façon un peu glauque de te dire que je passe une journée un peu merdique ; rien d'alarmant Ae-Chan !
Je ne remarque qu'après qu'elle est souffler de soulagement, que mon amie est arrêté de respirer. Pourtant, alors que je croyais que la brune allait à son tour rigoler de cette histoire, elle ne nous lance qu'un regard morbide avant de tourner les talons et de disparaître derrière les portes coulissantes qui séparent son appartement de la boutique. Romane et moi nous nous échangeons un regard confus, perdu de la tournure que cette petite phrase est eu sur Ae-Chan.
