Partie 9

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Précédemment :
Il m'a regardée pendant quelques secondes mais je n'osais pas lever la tête donc il me l'a redressée par le menton puis m'a reregardée fixement avant de réagir.....

[ Partie 9 ]

Il a approché son visage très ou même trop près du mien. J'étais tellement gênée que je ne savais pas quoi dire

Moi: Euh Zak....

Zakarya: Chuut j'regarde un truc.

Il me fixait très sérieusement et cela devenait presque flippant. D'un seule coup il recule son visage et se lève puis retourne s'assoir là où il était assit tout à l'heure.

Zakarya: Mdrrr c'est qu't'es archi mignonne de près ma p'tite.

Moi: Euh.... Qu'est-ce que tu faisais au juste ?

Zakarya: J'voulais voir tes yeux.

Moi: Pour quoi faire ?

Zakarya: Pour voir si j'peux te faire confiance. Je juge les gens par rapport à leurs yeux.

Moi: Et tu me juges comment ?

Zakarya:..... J'ai un deuxième prénom. C'est "Émir". Ma mère avait eu la super idée de me donner le prénom de mon père. Qd j'étais petit j'étais fière d'avoir le même prénom que lui du coup j'demandais à ce qu'on m'appelle comme ça. Bien évidemment qd cet enculé il a décidé de jouer les lâcheurs bah j'm'enervais à chaque fois que quelqu'un m'appelait comme ça.

Il m'a ouvert don coeur donc j'ai eu ma réponse indirectement. Ça me fait tellement plaisir qu'il me parle de ce qu'il ressent.

Moi: Ah c'est pour ça que tu n'as pas apprécié qd ta tante t'as appelé de la sorte tout à l'heure ?

Zakarya: Ouais. J'ai une question.

Moi: Oui ?

Zakarya: A ton avis, c'est qui pour toi les pires personnes au monde ?

Moi: Tous ceux qui s'en prenne aux plus faible sans raison, je pense, mais il ya plusieurs sorte d'énergumènes ici bas, donc je ne pense pas qu'il y en ait pire que d'autres

Zakarya: J'ai rien compris à ta merde mais bon mehlish. Pour moi, y'a deux choses que je déteste le plus au monde, les violeurs et les gars comme l'autre connard qui m'sert de darron.

Moi: Je suis d'accord avec toi, ce qu'il a fait ne se fait pas et c'est ignoble mais il reste ton père non ?

Zakarya: Nan. Dès l'instant où j'ai vu ma mère pleurer tous les soirs dans sa chambre et rentrer fatiguée à force de travailler pour nous élever, il a cessé d'être mon père.

Moi: Je vois, ça a du être très dur pour toi aussi ?

Zakarya: Moi je m'y suis fait à l'idée et je suis un homme, et je le suis devenu dès l'âge de 6 ans. Mais c'est pas juste pour ma mère et ma soeur, elles ont souffert et sa jamais j'le pardonnerai. Personne ne touche aux personnes au j'aime sinon je lui fais regretter sa venue au monde.... Bref c'est rien de ouf mais bon vu que tu voulais savoir.

Moi: Je t'admire vraiment, tu sais ? Tu te comporte de façon très mature et tu es très fort. J'aimerai te ressembler d'avantage.

NEYLA :《Détestée de tous : il n'y a que lui qui a su m'aimer》Où les histoires vivent. Découvrez maintenant