NEYLA :《Détestée de tous : il n'y a que lui qui a su m'aimer》

Partie 14

Précédemment:
Je me jete sur mon lit et j'essaye de penser à autre chose, je n'y parviens pas. J'ai les yeux humides, j'essaye vraiment de ne pas craqué mais je n'y parviens pas. Je pleure, oui mais pourquoi ? Je ne sais pas, je n'avais jamais vécu ça auparavant....

[ Partie 14 ]

Une demi heure plus tard, la porte de ma chambre s'ouvre. J'avais fermé les volés donc ça a fait entrer un bloc de luminosité d'un coup, j'en avais mal aux yeux.

Kenza: Bah alors chaton ? Ça va pas ?

Moi: Si ça va Kenza, tqt pas. J'suis juste un peu fatiguée.

Kenza: T'es sûre ?

Moi: Oui oui, y'a un problème ?

Kenza: Nan c'est juste que j'm'inquiete pour ma cousine d'amour.

Moi: Merci hbiba.

Elle referme la porte. 5 minutes plus tard, la porte s'ouvre d'un coup puis se referme d'un coup. J'avais pas eu le temps de voir si quelqu'un était entré. Quelques seconde plus tard je sens une main me toucher. J'ai poussé un cris, une voix que je connais cri quelque chose aussi "C'EST MOI WSH" puis elle pousse un cri de douleur. C'était Zakarya.

Zakarya: AH PUTAIN D'MERDE

Moi: Zak ?

Zakarya: Mais oui putain c'est moi, ton fauve il m'a mordu à cause de ton cri wsh !

Kenza: *en ouvrant la porte* Hey les amoureux faites pas trop de bruit, ça prête à confusion, sur ce j'vous laisse un peu d'intimité.

J'allume ma lampe de chevet.

Zakarya: FERME TA GUEULE TOI AVANT QUE J'TE FASSE BOUFFE LE CHAT

Kenza: *en refermant* Pas de bêtise hein !

Moi: Mdrrr désolée. Pourquoi tu m'as pas dit directement que tu entrais ?

Zakarya: Bah j'allais le faire là

Moi: Qu'est-ce qu'il y a ?

Zakarya: Le monstre il gartait la porte depuis tout à l'heure et comme j'suis un bête de père bah j'l'ai ramené voir sa mère.

Moi: Donne le moi, merci... Pardon mon petit coeur, je t'ai pas entendu.

Snikers miaule, il me pardonne, ça veut dire.

Zakarya: Bon tu m'dis qu'est-ce que t'as ?

Moi: Qu'est-ce que j'ai ?

Zakarya: Ouais. On m'a fait pas à moi.

Moi: Mais j'ai rien, tu te fais des idées.

Zakarya: Eh j'ai pas 12 piges moi, ton excuse de "j'suis fatiguée" elle passe pas. Parle.

Moi: Mais c'est rien je te dis.

Zakarya: Il t'a fait quoi le gars en vrai tout à l'heure ? Pourquoi t'es aussi mal ?

Moi: Mais non ça aucun rapport, je t'ai dit ce qu'il s'est passé