Précédemment :
On a discuté pendant une longues heures puis qd j'ai commencé à être fatiguée Zak m'a proposé de m'assoupir à côté de lui, il m'avait fait de la place dans son lit en insistant sur le fait que ça le dérangeait pas. On a continué à parler, puis à un moment je me suis endormie et le matin qd je me suis réveillée.... J'etais à moitié sur Zak et en prime il y avait Khalti dans la pièce qui rigolait à coeur joie.... J'aurais voulu disparaître...[ Partir 28 ]
Khalti: Eh ben ! Je vois que vous vous êtes bien retrouvés hein Hahaha
Moi: *en me redressant direct* Khalti ?! Tu es là depuis longtemps ?!
Khalti: Mdrrr un peu oui, j'ai pas voulu vous réveillez, alors il s'est passé quoi hier ?
Moi: *très gênée* Rien du tout c'est pas ce que tu crois Khalti je te jure...
Zakarya: Hmmm fermez-la un peu j'suis faya.
Khalti: Eh ferme ta gueule toi qui t'as parlé ? Donc je disais... Nod nod n'ta*!
*Lève toi
Zakarya: *en se redressant doucement* Quoi encore ?
Khalti: Mdrr alors, rien à me dire ?
Il était comme dans les vapes, inconscient de la gravité de la situation. Il se frottait les yeux puis a regardé sa mère les yeux entre-ouverts. J'en ai profité pour me décaler et mettre de la distance entre Zak et moi.
Zakarya: Comment ça ?
Khalti: Tu te fous de ma gueule ?
Il se retourne, me regarde toujours en plissant les yeux puis réagi enfin
Zakarya: Ah ouais d'accord j'ai compris.
Il se rallonge en nous tournant le dos
Zakarya: Demmerde toi j'ai absolument pas la force et l'envie de lui expliquer, venant de moi ça servirait à rien et elle va à coup sûr me traiter de pédophile.
Khalti: N3el weldik! J'en suis sûre que c'est toi qui l'a forcée à dormir ici.
Zakarya: Bah t'avais qu'à la guetter plus tôt wsh c'est pas j'meurs presque pour pas qu'elle clams et le lendemain elle se fait niquer parce qu'elle est sortie à 22h le soir
Khalti l'a frappé plusieurs fois sur les jambes, en l'insultant bien sûr d'insolent.
Zakarya: *en se redressant* Ahhh Mama wsh j'ai mal !
Khalti: Je m'en fou bsahtek. Maintenant les enfants on a plus le choix.
Elle baisse sa tête puis la relève en nous fixant d'une expression de femme désespérée.
Zakarya: Qu'est-ce qui t'arrive ?
Moi: De quoi s'agit-il Khalti, pourquoi n'aurait-on plus le choix ?
Zakarya: Mais la question, *en imitant Khalti*"hbiba", c'est de quoi elle parle ?
Khalti: Aaaah ya rabbi, j'aurais préféré faire autrement mais c'est trop tard ! C'est la dernière solution qu'il nous reste
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NEYLA :《Détestée de tous : il n'y a que lui qui a su m'aimer》
Romance《On ne choisit pas les circonstances de notre venue au monde, on ne choisit pas nos parents et encore moins notre famille. On ne choisit pas son destin, on le subit ou on vit avec. Mais j'ai décidé de remercier Allah pour ce qu'il m'a donné et de vi...