Se souvenir. ( Kuroko's basket ).

Chapitre 51. Pour une histoire de tee-shirts !

Je me suis mise dans le fauteuil qu'Akashi a poussé.

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Moi: Aka...

Il m'a coupé.

Seijuro: non, je ne veux plus que tu m'appelles par mon nom de famille.
Moi: ok, Seijuro.
Seijuro: c'est beaucoup mieux.

Nous avions une semaine et demi avant notre prochain match, le temps que les équipes ex æquo refasse leur match. Et qu'il fasse les plannings des matchs en conséquence. 

// Ellipse d'une semaine. //

Il ne reste plus que trois jours avant notre match.

Avec Seijuro les choses se passent très bien. Taiga s'en remet progressivement et pour Alya on est à court d'idée.

Hemiko: il faut vraiment que l'on trouve quelque chose.
Moi: je sais bien mais l'idée que j'ai eu ne fonctionnera pas.
Hemiko: on n'a cas trouvé autre chose.
Moi: on pourrait les laisser faire un peu, non ?
Hemiko: bon ok.

PDV HEMIKO:

Je n'ai pas envie d'abandonner mais bon au vue des circonstances... pas le choix.

Daiki: PUTAIN !
Moi: merde...
Jun: toi tu as fait quelque chose de mal.
Moi: je vais me faire tuer.
Daiki: Hemiko, tu es où que je te fasse la peau.
Jun: à se point ?
Moi: oui, aide moi !
Jun: bon ok je vais essayer.

Jun est allé voir Daiki.
Mais en la voyant se déplacer j'ai remarquer que quelque chose n'allait pas, Jun boite de plus en plus.
Ils ont parlé quelques minutes se qui a suffit pour me laisser la voie libre de mon côté.
Elle a réussi !
Je suis parti pour trouver la chambre à Ryota, une fois avoir trouvé le placard où il range ses tee-shirts, j'ai pris celui qui m'intéressait pour éviter une long mort pleine de souvenance.

Moi: désolé Ryota, mais c'est une question de vie ou de mort.
? : La main dans le sac !

Daiki a fait éruption dans la chambre de notre coéquipier. Ohoh...

Daiki: Toi là ! Tu vas me le payer !

Il m'a pris le poignet et m'a amené dans sa chambre.

Daiki: Non seulement c'est un cabeau mais en plus il y hors de prix ! Quant ma sœur va s'en apercevoir...
Moi: au moins il est près du corps maintenant et puis le rose te va très bien.
Daiki: t'as de l'humour.

Il est remonté. Pour expliquer cette mésaventure, j'étais de corvée de linge il y a deux jours et part négligence tout la tourné c'est retrouvé décoloré et rétréci. Akashi ne m'en a pas voulu disant que ne n'était rien mais Daiki... C'est une autre histoire.

Moi: je te le rachèterai.

Daiki m'a pris dans ses bras. Quoi ? Il n'est pas en colère ?

Daiki: Tu m'en moques, je voulais juste avoir un peu de temps avec toi. Depuis que la compétition a commencé on n'a pas beaucoup de temps.

Trop mignon, il est tout rouge ! J'aurais presque envie de le taquiner, mais ces moments sont si rare que j'en ai pas l'envie.

Moi: tu es un amour Daiki.
Daiki: tu me manques, j'ai le droit ?
Moi: mais oui.

Je me suis assise sur son lit, lui c'est allongé en posant sa tête sur mes cuisses, ma main lui caressait doucement les cheveux.

Daiki: on est bien là.
Moi: oui.

Je l'ai embrassé.

Moi: je t'aime tant.
Daiki: moi aussi.

PDV RYOTA:

A l'entraînement il manquait Hemiko et Daiki. Mais c'est pas possible !

Moi: je vais les chercher.
Alya: je viens avec toi.

On est tout les deux partie à lui recherche.
Nous avons commencé par la chambre de Hemiko, mais personne puis celle de Daiki.
On a entendu des voix, on a vérifié qu'ils ne fessaient rien de gênant pour entrer.

Moi: on ne sèche pas l'entraînement !
Alya: irrécupérable !
Moi: allez à l'entraînement !

Ils se sont levé, on c'est dirigé tout les quatre vers le gymnase.

Riko: enfin !

L'entraînement a pu enfin débuter.

// À midi. //

On était tous en train de manger mais Akashi est partie un peu avant tout le monde.

PDV SEIJURO:

Je venais d'avoir un appel de mon père.

~ Conversation téléphonique ~

Père: bonsoir Seijuro, je t'ai trouvé une femme digne de se nom.
Seijuro: je n'en veux pas.
Père: je comprends, quelque soit l'élu tu diras non ?
Seijuro: vous comprenez vite.
Père: dans se cas tu sais se qui te reste à faire.

~Fin de la conversation téléphonique~

Je n'ai pas eu le temps de lui demander se qu'il entendait par là.

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