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Point de vue de Vassili

Cet femme allait me rendre fou. Je comprenais à présent pourquoi elle était aussi agacé par ma présence. Aujourd'hui je croyais bien qu'elle n'était même plus effrayé par ma personne effectivement ma bipolarité devait l'énerver plus que l'apeurée. D'un côté j'étais ravie qu'elle ne sursaute plus à la moindre de mes paroles. Néanmoins il ne fallait pas qu'elle oublie qui j'étais. Ces quelques heures d'avion m'avais permis de comprendre que je ne devais pas réprimer mon envie irrépressible de la garder près de moi. Je m'étais convaincu que cela n'était pas une mauvaise chose et de toute manière j'avais bien remarqué que cela ne me rendait pas faible. Alors pourquoi ne pas tenter? Évidemment pour cela il fallait que je sois moins désagréable car sinon j'étais persuadé qu'elle préférerai se jeter sous un bus que de me laisser l'approcher. Mais je n'arrivais pas à m'en empêcher. Comment pourrions-nous nous empêcher d'être celui que nous étions depuis tant d'années? Voilà une seconde question à 1 millions de dollars. D'un autre côté je m'étais questionner, et puis pourquoi pas après tout? Cette femme était absolument divine que se soit physiquement ou moralement. Parmi nos quelques conversations qui n'avait pas tourner au désastre, j'avais pu apprendre qu'elle était une fille très cultivé. L'ayant observé pendant de longues minutes avant de la rejoindre devant mon Picasso. J'avais donc pu observer qu'elle était elle aussi une grande admiratrice d'art. Cela nous faisait un point commun. Évidemment cette fille cacher des secrets et compter sur moi pour les découvrir. Malgré ça comme en affaire les choses devaient être bien faite. C'est donc pour cela que je me devais d'être plus sympathique envers elle. Malgré tout elle ne me rendait pas la tâche facile. Certes elle était très intimidé par moment mais je vous assure qu'Elena était en réalité une lionne. Néanmoins c'était tout de même une gamine fragile que je me devais de prendre sous mon aile. Cette conclusion faite c'est toujours aussi distant que je sortis rejoindre ma limousine.

-Ou allons nous?

Demanda t-elle timidement, d'une voix ensommeillée qui m'était toutes mes émotions en émoi.

-A l'hôtel pour nous changer puis nous irons directement au gala.

Répliquais je d'une voix que je ne pus qu'adoucir face à sa mine perdue. Pouvait on réellement être incroyablement belle même au réveil?
C'est très rapidement que nous arrivâmes à l'hôtel. Un hôtel qui sans vouloir me venter m'appartenait. À mon arrivée mon personnel m'accueillit avec le plus grand des respects comme à leur habitude. Me donnant la carte menant à ma suite au dernier étage je posais délicatement ma main dans le dos de l'italienne.
Se crispant légèrement elle se détendit lorsque je lui fis un léger hochement de tête. En entrant dans la suite je la vis quelques minutes s'émerveillée de nos appartements. Il était vrai que c'était les plus beau de tous l'hôtel. Après tout c'était normal puisque c'était le mien.

-Allez vous rafraîchir j'irais après vous.

Mon acte de gentillesse fut ternit par mon ton autoritaire. Évidemment que je lui donnais l'ordre d'y aller la première mais c'était tout de même gentil non ? Je soufflais lorsqu'elle passa la porte de la salle de bain en me regardant légèrement de travers. Si je voulais que cette femme m'apprécies un minimum ou du moins ne me détestes plus j'avais encore des progrès à faire. Je ne savais toujours pas pourquoi est-ce que je voulais me faire apprécier par cette gamine mais que voulez-vous peut être que je ne le regretterai pas. Mon envie de la tuer n'était donc plus d'actualité? Sachant pertinemment qu'elle passerai le reste de sa préparation dans la salle de bain j'étais partis me rafraîchir ailleurs. En revenant j'eus l'immense honneur de la découvrir encore plus belle qu'il n'y avait quelques heures. Cette merveilleuse robe blanche que je lui avais choisis mouler ses courbes à la perfection. Mon pantalon encore étroit j'étreignis un grognement de mécontentement. Je n'étais plus très sûre de la laisser sortir dans une telle robe à présent.

MAFIAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant