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Point de vue de Vassili

Je soufflais une nouvelle fois en sentant le pied de la stupide femme qui se tenait aux côtés de mon ami. Notre conversation était sympathique au début même si le visage d'Elena ne voulait pas sortir de ma tête. Je m'en voulais de l'avoir laissé seule au milieu de tous ces requins mais mon seul but avait été de montrer qu'elle était avec moi pour que personne ne l'approche. Et je savais pertinemment que je n'arriverai pas à me contrôler si je la gardais à mes côtés. Grand Dieu pourquoi réagissais-je de la sorte? Je l'avais vu quitter l'entrée pour se diriger vers le fond de la salle malheureusement je n'avais pu la surveiller puisque monsieur Alvarez était rapidement arriver. Tout de suite refoulant mon envie irrépressible d'aller la rejoindre je m'étais remis en condition de chef. Et j'avais réussi, mes hommes m'avait apporté un extrait de la marchandise que les Espagnols s'était empressé d'essayer. En quelques secondes ils avaient été aussi illuminé que des sapins de Noël et c'était avec bonheur qu'ils avaient accepté et signé notre alliance. Après ça je ne l'avais plus trouvé malgré tout je savais qu'elle était là pas loin en avisant chaque chuchotement qu'il l'a concerné. Les femmes la jalousaient et les hommes la désiraient. Je grognais néanmoins en entendant certains propos qui me déplu fortement. Mais encore une fois je n'avais qu'à leurs envoyer un simple regard pour qu'il ne comprennent et baissent les yeux. Malgré que nous nous trouvions parmi beaucoup d'hommes d'influence j'étais le plus puissant avec évidemment le maître des lieux et tous le savaient. Je ne pouvais pas vous dire que je ne prenais pas plaisir à les voir se soumettre. Malgré tout la seule qui ne se soumettait pas été celle que je voulais. Ironique non?

Je la retrouvais enfin assise près du bar. Mais ce qui me paru alors ne me plu guère. Mon frère et son sourire charmeur ne la quittait pas du regard. Je m'avançais alors d'un pas déterminé et remarquais qu'elle semblait rire à la blague certainement stupide qu'avait fait mon frère sur les invités de cette soirée.

-Rafael.

Grondais-je, évidemment il m'avait vu venir et c'est d'un clin d'œil qu'il me répondit.

-Salut mon frère, j'ai fais la connaissance d'Elena c'est une femme réellement incroyable. Tu as beaucoup de chance.

Je la vis alors sourire bêtement. Fronçant les sourcils je compris rapidement qu'elle était saoule.

-Tu l'as fais boire!

Dis je en relevant Elena qui était avachit sur le siège.

-Elle s'est saoulé toute seule, je pense que tu l'épuises cher frère.

(Lancer la chanson)

Dit il moqueur en voyant Elena me faire de la résistance. Elle manqua de tomber lorsque je la pris dans mes bras.

-On rentre tout de suite.

Grondais je. Malheureusement mon ton que je pensais pourtant dur ne sembla pas l'effrayer. Au contraire elle se mit a rire. Surpris je la relâchais et elle en profita pour s'écarter. La musique changea alors pour une chanson récente. Puis tout à coup je vis ces yeux s'illuminait.

-Tu sais ce que j'aime en Espagne?

Me demanda t-elle toujours pince sans rire.

-On se tutoie maintenant?

Demandais-je un sourcil relevé, un sourire légèrement moqueur sur le visage.

-Oh arrête de faire ton gros mafieux sans cœur je suis sûr que.. t'es aussi cool que ton frère en réalité.

Dit elle en bégayant légèrement mais cette fois ci pas de crainte. Demain lorsqu'elle se réveillera avec une grosse gueule de bois je me ferais un plaisir de lui rappeler ce qu'elle venait de me dire.

-Ducoup je disais que ce que j'aimais le plus c'était...?

-La musique?

Demanda mon frère en riant face à ma mine déconfite.

-Gagné!

À cet instant mes sourcils se défroncèrent et je laissais ma mine impassible de côté pour révéler un réel sourire. Sous mes yeux Elena se mit a se déhancher sous les paroles de cette chanson espagnole. Son corps se balançant sensuellement sur les notes de musique m'émerveillait. Son corps de déesse ajouté à ses talents de danseuse me donnèrent des frissons. Son regard qui ne me quittait pas y était aussi pour quelque chose. Lorsqu'elle se mit a faire du play black sur Nicki Minaj je suivis mon frère dans un fou rire. C'était fou comment cette femme dégageait une bonne humeur si contaminante. À ce moment là je me fis la remarque que oui j'en étais sûr je ne la laisserai plus jamais repartir ..

MAFIAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant