23

36K 1.5K 170
                                    

Lorsque j'ouvris les yeux je sentis quelque chose de doux me retenir. Attendant d'avoir la vue plus net je compris rapidement que la chose qui me toucher étaient des draps que je ne connaissais pas. Je confirmais ma théorie lorsqu'en me relevant je remarquais que je n'étais pas dans « ma chambre ».  Avant même que je n'ai le temps de m'inquiéter je vis Vassili déboulé. Tournant légèrement la tête sur la deuxième place du lit encore chaude je compris que nous avions dormis ensemble.
Bon sang dites moi qu'il ne c'est rien passer.

-Il ne c'est rien passer Elena.

Gronda t-il comme si je l'avais insulté. Je déglutissais légèrement avant d'écarter les draps pour me relever. Avais je parler à voix haute? Je remarquais alors lorsque je me trouvais devant le miroir que l'ont m'avait changer.

-Je t'ai changer lorsque tu t'es endormie contre moi.

Mon regard arrimé au sien dans le reflet de la glace je le vis approcher.

-Est ce que ça va mieux?

Demanda -t-il en arrangeant une mèche rebelle de ma crinière. Je fronçais mes sourcils, pourquoi est ce que ça n'irait pas? Puis tout me revint en mémoire, la soirée, ces questions, les miennes puis ma crise. Les crises de panique m'étais habituels, mais cela faisait pratiquement six mois que je n'en faisais plus. Même si je n'approuvais toujours pas les méthodes de cet ours derrière moi je me devais de le remercier. Il avait était d'une attitude exemplaire même si c'était lui qui avait involontairement provoqué ma crise.

-Oui merci pour... voilà.

-Ne me remercie pas je t'ai causé du tord et je m'en excuse.

-Tu n'es pas responsable.

Murmurais je avant de m'engouffrer dans la salle de bain. Inspirant un bon coup c'est appuyée sur le lavabo que trois petits coups à la porte me fis me redresser.

-Il y a des vêtements propres qui t'attendent sur le lit.

Dit il sévèrement comme si cela lui coûtait. Que lui arrivait il encore? C'était fou d'être aussi lunatique, ne pouvait il pas être normal? Ces nombreux sauts d'humeurs me rendait folle et pourtant et même si cela était complètement contradictoire je me sentais bien avec lui. En sécurité et même si cela était difficile à croire en sachant ce qu'il faisait dans la vie. Évidement cette petite appréhension au fond de moi était toujours là, même si je m'y résignais. Le plus étrange était que je n'avais plus peur de ce qu'il pouvait me faire entant que chef de la mafia russe. Non, j'étais anxieuse par rapport à son comportement en tant qu'homme en vers moi. C'est vrai, il pouvait passer d'un homme charmant à un homme en colère en à peine quelques secondes. Avec lui j'avais l'impression de me trouver dans des montagnes russes. Je soufflais en entrant dans la douche. L'eau chaude me fis du bien, c'est donc quelques dizaines de minutes plus tard que je sortis. M'assurant que les lieux étaient vides je me changeais rapidement. La robe qu'avait certainement choisit le maître des lieux était absolument époustouflante. Elle était pourtant simple mais me mettais réellement en valeur. En remontant les collant, je passais la robe puis fermais mes bottes. Une fois habillée je me brossais simplement les cheveux, ne défaisant pas les boucles de la veille. Lorsque je sortis ce que je vis alors me fis si mal que je pensais moi aussi être devenue complètement folle. Une fille peu vêtue sortit tout sourire du bureau de mon ravisseur. Essuyant son rouge à lèvre qui bavait c'est rapidement qu'elle disparu. Comme si le sort ne m'en avais pas assez fais baver la jolie tête de Vassili Antonov pointa le bout de son nez. C'est donc mon regard arrimé au sien que je partis aussi vite que je le pu.

MAFIAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant