MAFIA

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Point de vue de Vassili

Quelques heures plus tôt

-Elle a passer la nuit dans cet hôtel monsieur mais elle est partit, il n'y a pas longtemps.

Le jugement au bord des lèvres j'observais la façade. Comment pouvions nous qualifier cet infame établissement d'hôtel? Le calme olympien dont je faisais preuve pour ne pas tuer mon homme sur le champs commencer réellement à s'estomper. Néanmoins si je ne voulais pas rappeler d'autres hommes je devais en moins, le temps de la retrouver, les garder en vie.

-Ratisser les lieux elle n'a pas du aller loin!

Dis je froidement en remontant dans ma berline.

-Bordel Elena, ou es tu?

Ayant virer mon chauffeur c'est seul que je fis le tour du quartier. Continuant ma recherche tout en espérant la retrouver. Je me stoppais lorsque j'aperçus un prospectus au sol. Bloquant alors toute la route c'est en lisant le document que je remontais dans la voiture.

-Galeria...

Pus-je lire en attrapant mon téléphone.

-Je veux que vous me rejoignez tous à cette adresse, dépêchez vous.

Ordonnais je dans un russe parfait. Elle était en cavale certes mais mon intuition me disait d'aller la bas. Si elle n'y était pas je me serais tromper et je continuerai de ratisser la ville mais pour l'heure c'est à cette galerie que nous irons. Quelques minutes plus tard c'est avec une bonne partie de mes hommes que nous bloquâmes le passage du musée. Grâce aux connaissances de Rafael les forces de polices avaient bloqués une bonne partie des environs. Alors que nous partions vers l'intérieur je la vis. Je la reconnus à ses yeux juste avant qu'elle ne les cache de ces lunettes sombres. Si son déguisement aurait pu me mener en erreur, son corps n'était pour autant pas le moins du monde caché. Me dévisageant elle resta bouche bée quelques secondes.

-J'en étais sur.

Ne pus je m'empêcher de dire, alors que j'allais m'avancer je la vis tourner la tête. Avant même que je n'ai le temps de la suivre je la perdis un instant des yeux. Rapidement je là retrouvais et me mis à sa poursuite accompagné de mes hommes. Une course poursuite ce joua alors dans les rues de Buenos Aires. Alors qu'elle se mêler à la foule n'ayant plus le choix elle continua sa course en plein milieu de la route.

-ELENA!

Criais-je en la voyant prendre de tels risques. Souhaitez-t-elle à ce point me fuir ? Avait-elle si peur que ça ? Mais de qui ? L'inquiétude qui montait en moi me poussais à accélérer, néanmoins lorsque je l'a vis évité de peu une voiture je sentis mon cœur rater un battement. Se relevant comme si sa vie en dépendait elle fut alors aux pieds du mur. Ne trouvant alors plus d'alternative elle grimpa sur les rebords du viaduc. A cet instant je sentis réellement mon cœur se resserré.

-Elena je t'en prie descend de là..

-N'approchez pas!

Hurla t-elle alors en pleurs. La voir aussi désespéré me tuais, néanmoins il fallait que je garde les pieds sur Terre. Si mes sentiments s'emmêlaient je n'arriverai à rien.

-Elena..

Chuchotais alors en avançant d'un pas. Mais quand je la vis légèrement se tourner et reculer d'un pas je su.

J'avais fais une grossière erreur.