Un étrange colocataire [Jackson Wang]

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NDA : Je suis malade, alors j'ai le temps. voilà un petit chapitre !

La semaine était passée très très lentement. Aujourd'hui, nous étions déjà 7 jours passés, et c'était donc aujourd'hui que l'hôpital allait débrancher Jackson.

Il était 5 heure du matin, et je marchais dans le couloir blanc des chambres de l'hôpital. Pourquoi si tôt ? Car je n'arrive plus à dormir. Je préfère passer du temps avec Jackson.

Ça me fait tellement peur, mais j'ai tellement pleuré pendant cette semaine que plus rien ne sort. Je ne ressemble plus à rien, et je ne suis pas sortie une seule fois de l'appartement.

J'ai reçu quelques messages d'un peu tout le monde, mais je ne les est jamais lu. J'était arrivé devant cette porte, que je fixé, très peu à l'aise. C'était les dernières heures à partir de maintenant.

J'enclanche enfin cette poignée, avant de la refermer derrière moi. Je marchais doucement vers son lit, et je déposa mon sac sur le sol. Je regardais attentivement chaque petit bout du visage de Jackson. Comme si je voulais le mémoriser.

Moi : C'est les derrières heures Jackson. Tu peux encore te réveiller, tu sais.

Comme si être avec lui m'apaisait, je me sentais très fatigué, et décida donc de dormir un peu. Lorsque mes yeux se rouvraient, c'était suite à quelques secousses du docteur Huang.

Docteur Huang : Vous êtes ici depuis longtemps mademoiselle Wu ?

Moi : Ah.. euh, oui, je crois. Quelle heure est-il ?

Docteur Huang : 12h19.

Quoi ? Déjà ? J'ai dormi longtemps.

Moi : D'accord. À quelle heure allez-vous le débrancher ?

Docteur Huang : Nous le débrancheront à 20h. Vous allez rester ici toute la journée ?

Moi : Oui.

Docteur Huang : Et vos amis vont venir ?

Moi : Je ne sais pas, certainement.

Docteur Huang : Très bien. Je suis venu lui donner son repas.

Il s'approcha de ça perfusion, et y injecta son repas. Enfin, son repas est un grand mot. Je regarda Jackson, qui ne bougeait toujours pas.

Je savais qu'il allait partir aujourd'hui, mais mon corps m'empêchait de l'imaginer. Comme si il faisait tout pour que je ne souffre pas d'avantages. Et, je dois dire que, je le remercie.

Docteur Huang : J'ai fini. Il a encore le temps de se réveillé. À bientôt.

Le docteur sortait donc, et j'étais seule. Je n'avais même pas faim. Je le regardait encore, et une bonne heure passée. Je pensais à comment j'allais vivre sans lui. Plus le temps passé et plus je sentais l'adrénaline monter.

Jinyoung rentra à ce moment, avec un sachet. Il était habillé tout en vert foncé, et avancé vers moi, avant de me tendre son sachet.

Jinyoung : Tiens.

Je pris le sachet sans trop comprendre. Je regardais à l'intérieur pendant qu'il s'asseyait. C'était des nouilles aux légumes grillés. Je leva les yeux vers lui.

Jinyoung : Je sais que tu n'as pas mangé.

Je posais son sachet, sans dire un mot. Je n'avais vraiment pas faim. C'est gentille, mais je ne peux pas manger comme ça.