« Tu as été pour moi ce que personne d'autre n'aurait pu être. (...) Si quelqu'un avait pu me sauver, cela aurait été toi. » Virginia Woolf, dernière lettre à son mari, Leonard. L'une était dépressive L'autre était possessive L'une était une fleur fanée L'autre une enfant à la joie innée Lucie l'avait aperçu Et s'en était prise plein la vue Une beauté débordante Pour une fille rayonnante Élodie demeurait un mystère Elle voulait réussir et à tout le monde plaire Dès qu'une menace elle sentait Elle s'arrangeait pour l'éliminer Lucie était meurtrie par la vie Élodie l'avait comprit Lucie la voulait comme amie Élodie aussi C'est alors qu'est née une amitié Que rien n'aurait dû briser Mais lorsque la jalousie s'en mêla Le début de la fin sonna... « Au fond, tu n'as jamais été quelqu'un de mauvais. Malgré tout le mal que tu m'as fait. »