Gloria avança ver les portes de Monstadt, elle portait une grande cape noir qui l'a mettait à l'abris des regards indiscrets, sa démarche était chancelante et de la sueur coulait le long de son visage. Cependant les chevaliers qui surveillait la porte l'arrêterent.
PDV gloria :
- Je doit passer, soufflais je un brin énervé et fatigué. - Qui êtes-vous ? Demandèrent t'ils. - Depuis quand doit t'on décliner son identité lorsque l'on passe la porte de la cité de la liberté ?
Les chevalier se regardait indécis., mais une voix s'éleva derrière eux.
- Depuis que les forces du mal tente de s'infiltrer dans la cité de la liberté !
Je me retournait vivement et me retrouvait face à un garçon au cheveux noir corbeau et au teint hâlé, il portait un tenue bleu et possédait un œil divin.
- Donc il vous faut soupçonné chaque personne qui se présente au porte de la cité de la liberté ? N'avez vous donc pas compris les plans de l'ordre de l'abîme ? Ils sont en train de semer la zizanie entre humains, tout le monde soupçonne tout le monde ! Les humains se désunissent ! Et l'ordre de l'abîme jouera des cartes dessus croyez moi ! Votre idée de fouiller les gens au entrée des villes est folle ! Que faites-vous des aventuriers ? Vous les soupçonnes parce qu'ils portent des armes alors qu'elles leur serve à remplir des missions ou à se défendre contre monstres et bandits ! Et puis le mal a souvent tendance à pénétrer dans les villes lorsqu'il fait sombre ! D'ailleurs la muraille Nord Ouest possède un défaut car les palmes a vent installé dessus empêche la présence de gardes mais permet une escalade incognito !
Alors que je reprenait mon souffle après cette longue tirade qui m'avait encore plus sapé mes forces, les chevaliers me regardait éberlué mais le jeune chevalier reprit rapidement contenance.
- Vous semblez bien renseigné sur notre cité... - Tous aventurière qui se respecte prend connaissance du lieu où elle désire séjourner quelques temps ! - Mais apprend t'elle aussi les défaut dans la Défense de la cité ou elle souhaite séjourner ? - Pas besoin d'en prendre connaissance ! Il suffit de passer à côté pour le découvrir ! - Alors permettez-moi de vous dire que vous êtes une fine observatrice ! - La flatterie ne marche pas avec moi ! - Nous ne faisons que protéger notre cité. - Je n'ai fait qu'énoncé des faits ! Il n'y a que la vérité qui blesse ! - Vous êtes étrangères et vous vous permettez de critiquer notre défense. - Un avis extérieur aide toujours ! Vous les chevaliers de l'ordre de Favonius, êtes bien imbus de vous même pour croire que vous êtes a même de juger ou arrêtez des gens que vous soupçonner être mauvais. Car si vous vouliez arrêter les gens qui font du mal, ceci reviendrait à mettre les chaînes au poignets du monde entiers pour ensuite se les mettre soit même ! - Voila que vous devenez philosophe ! - Non pas philosophe mais réaliste. - Alors je vous prierai de me suivre voir la grande maîtresse suppléante pour nous donner à tous deux des cours de réalismes ! - Je n'ai pas de temps à perdre pour des chose aussi futile que cela ! - Alors vous le trouverez ! Car ce n'était pas une proposition mais un ordre ! - Et vous pensez vraiment que je vais vous obéir ?
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.
- Non c'est pour quoi, le chevalier se baissa comme pour nouer son lacet mais il posa sa main à plat sur le sol, j'ouvris de grand yeux quand je compris son but et prenant appui sur les deux pieds, je bondit dans les airs, de la glace jaillit du sol et se lança à ma poursuite, je sortit mon épée et trancha la glace puis me laissa retomber sur le sol le souffle court, je senti que ma respiration se faisait erratique, je senti soudainement un froid enserré mes jambes, j'essayais de me redresser, sans succès. Le garçon s'approcha de moi et me bloquant les poignets dans le dos il me murmura à l'oreille.
-Toujours faire attention à son environnement.
T'en a des bonne toi, soufflais je dans mon fort intérieur.
Puis la glace disparu et je m'effondra sur le sol à genoux.
- Ma glace n'affaiblit pas autant normalement, souffla le garçon.
Au même moment il aperçu la tâche de sang qui grossissait sur mon flanc, il baissa ma capuche, et ma longue chevelure blanche glissa dans mon dos, quelques mèches restait collé à mon front à cause de la sueur. Le garçon jura a voix basse et me saisissant dans ses bras, il s'élança en courant sur une patinoire de glace qu'il venait à l'instant de créer. Je tentai de me libérer de son emprise mais mon corps ne semblait plus pouvoir bouger. Au bout d'un temps qui me sembla infiniment long, je me sentit déposé sur ce qui devait être un lit de camp, puis ce fut trous noir.
Ellipse
J'ouvris brutalement les yeux, j'étais étendu dans un lit, je me redressais et regardait autour de moi, j'étais seule, je me leva d'un bond, et chercha mes armes du regard. J'entendit des pas s'approcher de la porte je me cachais derrière celle ci et bondit sur la personne qui venait d'entré, je me fit indiquer le lieu où avait été placé mes armes puis tentait de sortir incognito du Qg de l'ordre de Favonius. Je fit partir les soldats dans une autre direction, et ouvrit la porte.
- Arrête toi Azura !
Je me retournai vivement à l'énoncé de mon prénom le jeune chevalier se tenait devant moi.
- Comment a tu connut mon nom ? - J'ai fait des recherches... - Et alors ? Ce n'est pas ça qui t'aurait aider à trouver mon nom !
Je tournai les talons commença à sortir du Qg.
- Attend...je peux t'aider à retrouver ton frère !
Je me retournai avec lenteur ver lui, et l'observait silencieusement, me perdant dans ses yeux bleus nuits, mais des bruit de pas me ramenèrent à la réalité, et je me retrouvait encerclée par des soldats. Je jetais un regard noir au garçon.
- Tu a détourné mon attention par ce vil moyen ? Tu n'est qu'un monstre ! Tu ne vaux pas mieux que les fatuis ! - Non ! Je veux vraiment t'aider !
Je le regardait d'un air dubitatif.
Ellipse:
On venait d'arriver ver les grottes Luminetoiles, Kaeya tentai par tous les moyens de me faire comprendre que mon frère n'était plus, mais je ne voulais pas le comprendre, je ne voulais pas le croire. Puis je finit par tomber sur un papier. Mon frère disait dessus qu'il était heureux de sa vie, mais désolé de ne pouvoir dire adieux de vive voix à sa sœur. Il s'était lui même donné la mort, n'acceptant pas le fait de devoir mourir de froid. Je m'écroulais par terre et éclatait en sanglots trop longtemps retenu.
- Il est mort, il est mort, répétait je inlassablement.
Même avec les preuves je n'arrivait pas à l'accepter, je ne voulais pas l'accepter. Des bras m'en serrèrent. Kaeya...je me suis énormément rapproché de lui, même si au départ nous n'étions pas d'accord sur certains sujets, nous étions devenus les meilleurs amis du monde, je n'étais même plus certaine si ce que je ressentais pour lui était de l'amitié ou de l'amour ? Peut être un mélange des deux ? Je ne le savais pas...enfin...si pour l'instant la seule chose que je savais c'est que j'avais besoin de lui, pour tenir, sinon je pense que je vais sombrer. Je me serrais alors encore plus contre son torse.
- Ne m'abandonne pas toi aussi. Ne m'abandonne pas... - Gloria regarde moi, ordonna t'il.
Je levais ver lui mes yeux embués de larmes.
- Je ne t'abandonnerais jamais et tu sais pourquoi.
Je secouait la tête. Il approcha sa tête de moi et posa ses lèvres sur les miennes, le baiser dura longtemps puis on s'écarta l'un de l'autre à bout de souffle.
- Parce que je t'aime Gloria, plus que tout au monde !
