Chapitre 8

54.7K 1.1K 2.3K
                                    




le lendemain du mariage , 15 heures

J'étais exténué , je ne sentais plus mes jambes et j'avais un mal de tête horrible . J'ouvre difficilement mes yeux et remarque directement dans ma nouvelle chambre , mon nouveau chez moi .

Ma chambre est assez grande , un lit 2 place est à coté de la grande bais vitrés donnant vue sur la verdure . Il faut savoir que cette maison est totalement perdu au milieu de nul part ce qui me fait totalement flipper . Une armoire , une table chevet avec comme couleur blanc et gris . Une chambre simple mais chic. Je sors de ma chambre et constate que la chambre du psychopathe est fermée. Il doit sûrement encore en train de dormir .

Je longe le long couloirs qui ne donne que sur des portes . La salle de bain est à cotés de ma chambre et une porte à cotés de Farès qui donne sur une chambre d'ami . Mais une porte qui était toute au fond du couloirs intrigua mon attention. Je me dirige vers celle-ci à petit pas . Une fois devant celle-ci je pose ma main sur la poignée et remarque qu'elle est fermée à clé.

Je n'y prête pas attention et va dans la salle de bain faire ma toilette.Je passe l'eau sur mon visage et je me regarde dans le miroir les mains posée sur le rebord sur lavabo . J'avais des cernes et cela ce voyait que j'étais fatigué. Je regarde la bague que j'avais autour de mon doigt . Est ce que je devrais l'enlever ? J'en sais rien . Je vais quand même le garder on ne sait jamais . Je sors de la salle bain et descend  pour atterrie dans la cuisine .J'ouvre le frigo et remarque qu'il n'y a absolument rien .

Wellou

Nada

Niet

J'ouvre les placards et c'était absolument comme le frigo . Vide

Je souffle d'exaspération et déverrouille mon téléphone pour voir si il n'y avait pas une boulangerie pas loin et je souris faiblement quand je vois qu'il y a une boulangerie a 8 minutes d'ici alors qu'on était dans un endroit paumé .

Putain j'ai la dalle

Je remonte dans ma chambre et m'habille rapidement avant de sortir de la maison . Je suivais le chemin sur mon portable vu que je ne connaissais absolument pas cette endroit.

Puis après 5 minute j'arrive dans un petit village où il n'y avait que des maisons . Je slalome entre les rues et je trouve enfin cette fameuse boulangerie. J'entre avec hâte dans le bâtiment et la clochette sonne pour signaler mon entrée .

Je m'avance vers les vitrines où est posé des pains au chocolat , des croissants et tout ce qui suit . Il n'y avait personne et tant mieux . Un homme arrive enfin et me donne ce que j'avais souhaiter , je paye et je sort .
Cela m'a fallu au moins 15 minutes le temps de rentrer à la maison mais à peine est-je fermer la porte que je sens quelqu'un me prend par le coup et me plaquer fortement sur la porte .

Et deviner qui c'était ?

- Farès : T'a intérêt à moi dire où t'était ?, dit-il d'un ton sévère

- Moi : Déjà  lâche moi !

Il sert plus fortement mon cou mais sans réellement m'étrangler et sa tête se rapproche  de la mienne .

- Farès : Où t'était avant que je te démonte !

Je lui lance un regard noir et monte ma main qui porte le sachet où il avait dès pain au chocolat et des croissants . Il pose son regard sur le sachet puis sur moi . Il me regarde longuement puis se décide enfin à me lâcher .

Il prend le sachet des mes mains et va se poser sur la chaise haute de la cuisine .

- Moi : Derien sourtout

Ces conneries m'ont fait vivre l'enfer - Nesrine {EN CORRECTION}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant