Douce agonie
La nuit lorsque je vais me coucher, je ne m'abandonne pas dans les bras de Morphée.Non.Je me force à gardée les yeux ouvert, repoussant le sommeil qui m'appel pendant de longues heures pour finir par tomber dans l'inconscience.Ô douce agonie quand tu nous tient.Au petit matin,à l'aube, me réveillant transpirante, paralysée,le souffle court à la suite d'un long et douloureux cauchemar à la limite du réel et pourtant imaginaire.
Voilà comment sont rythmés mes nuit depuis ce fameux jour.
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Livre de recueil
PoetryRecueil de poème court qui ont été inventé par moi Seul les médias et la couverture sont de Pinterest Don't Forget Love is a dagger