-𝐉.𝐊𝐢𝐫𝐬𝐭𝐞𝐢𝐧-

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"Je l'ai commencer depuis une heure déjà ! Ne vous inquiétez pas, monsieur Jaeger, elle sera en parfaite pour Lundi soir; je vous le promets ! "

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"Je l'ai commencer depuis une heure déjà ! Ne vous inquiétez pas, monsieur Jaeger, elle sera en parfaite pour Lundi soir; je vous le promets ! "

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Jean,

Ah Jean,

Quel merveilleux jeune homme.

Il tournait autour de son atelier, le pinceaux à son oreille, et le téléphone à la main.
Il avait toujours était passionné dans l'art, dans la peinture des portraits abstraits.
Ce que je trouvais merveilleux en lui.
La beauté et la finesse des traits qu'il apportait à ces dessins me comblait.

Et depuis 5 ans maintenant, j'étais "la muse" qu'il effleurait de son délicat pinceau et qu'il tachetait de sa fine aquarelle.

J'étais ce qu'il appelait "la beauté".

Je l'aimais tellement Jean.
Et j'en suis sûr que lui aussi m'aimait beaucoup.

" Non monsieur Jaeger, avec le lot de toute les oeuvres que je vous enverrai, l'une d'elle sera exquise. C'est moi qui vous le dit ! J'ai travaillé dessus depuis plusieurs années. C'est l'exposition de toute une vie ! "

C'est vrai qu'il travaillait dessus depuis des années déjà. Enfin, il avait eu l'idée, cette idée flamboyante qui nous apparaît au beau milieu d'une nuit noire. Sans même une lueur de lumière.

Jean.
Il avait été abandonnée par pas mal de ses amis.

C'est ce qu'il pensait.

Plusieurs des ses connaissances avait fait de prestigieuses études dans de grandes écoles.

Il avait du mal à s'en sortir pour un artiste de son époque ; c'était quelqu'un qui visait loin.

Qui voyait loin.

Depuis quelques années il empruntait de l'argent à gauche et à droite pour se former un ensemble convenable pour payer ses factures en retard. Mais cela ne fait que lui accumulé ses dettes.

Il tournait dans un cercle vicieux, mon
Jean.

Mon bel homme.

Parfois on l'agressait dans les rues, parcequ'il ne payait pas rapidement le fruit de ce qu'il consomme.

Plusieurs de ces toiles avaient été détruite dans la rue.

Il avait cet air de vérité et de virilité qui me plaisait en lui.

Quand j'ai vu ces dessins de moi, je ne pûs m'empêcher de tomber amoureuse de ces idées.

Il avait la finesse de son coup de pinceau, il me décrivait, belle que je suis.

 𝐓𝐡𝐞 𝐒𝐭𝐨𝐫𝐲 𝐎𝐟 𝐀 𝐋𝐢𝐟𝐞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant