Chapitre 1: Un samedi different

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Le seul son qu'entendait Willy à se moment était le bruit du tic tac de son réveil. Quand il leva la mèche poser sur ses yeux, il vit que le réveil affichait 9h16. Il prit quelques secondes à réaliser qu'il devait être a l'école il y a plus d'une heure.
Willy sauta de son lit en prenant rapidement ses esprits. À moitié réveillé, il enfila un pantalon et un t-shirt. Il attrapa ses lunettes qu'il enfila à la hâte allant même jusqu'à se mettre un coup de branche dans l'oeil. Il grogna rapidement de douleur mais pour lui l'heure n'était pas à se plaindre.

Il descenda les marches de l'escalier quatre à quatre. Willy courut dans la cuisine où il aperçut son frère jumeaux, Charly, et sa mère assis a la table savourant un petit déjeuner.
Willy attrapa deux tranches de pain et les enfouis dans sa poche. Il couru ensuite vers la porte de la maison qu'il ouvrit brusquement. Dans la hâte, il entendu un bruit de vaiselle qui se brise.

Willy ne se soucia pas de ça et courut à travers le jardin en essayant de remettre en place ses cheveux qui descendait sur ses yeux.
Mais tout a coup il fut stopper dans sa cours par un mur. Willy tomba au sol. Ses lunettes n'étant plus sur ses yeux il les chercha au sol. Après quelque seconde, Willy fut relèvé. Il regarda devant lui et il n'était pas rentré dans un mur, mais bien dans un homme.
Pourtant la définition de mur lui correspondait un peu mieux. C'etait l'oncle Frank. Il souriait.

- Et bien mon garçon, commença-t'il, tu est pressé.

- Je suis en retard pour l'école, dit Willy.

Oncle Frank posa Willy et lui remis ses lunettes et retire la mèche de cheveux de ses yeux.

- Tu as pensé à regarder quel jour on est ? Rigola oncle Frank.

Willy sorti son téléphone. L'horloge numérique affichait 9h27. Mais aussi la date était le samedi 15 janvier. Willy se sentit débile et rangea sont téléphone dans sa poche en soupirant.

Willy et oncle Frank entrèrent dans la maison et Willy aperçut le vase de sa grand-mère, la mère de sa mère, au sol en plusieurs morceaux.
Willy et oncle Frank se regardèrent. Oncle Frank souria voulant dire "Bonne chance".
Les deux entrèrent dans la cuisine. Charly se leva et vint sauter dans les bras d'oncle Frank, qui le porta sans difficulté. La mère de Charly et Willy, Janne, salua l'oncle Frank puis se tourna vers Willy avec un grand sourire.

- Toi, tu reste ici, commença-t'elle, tu sais combien se vase m'est chère ?

Willy baissa la tête, et haussa les épaules.

- Tu va le reparé, et après tu restera dans ta chambre pour la journée.

Janne sorti un tube de glue et le tenda vers Willy qui l'attrapa et le placa dans sa poche.
Charly prit un sac de sport. Il parti en compagnie de l'oncle Frank.
Willy soupira. Le samedi était le jour l'oncle Frank, Charly et lui passer une journée merveilleuse. Mais pour cette fois-ci c'était raté.

Il pris les morceaux du vase et monta dans sa chambre en voyant Charly et l'oncle Frank sortir de la maison.
Une fois dans sa chambre et les morceaux posés sur son bureau, Willy s'assit et sorti le tube de glue.
Janne entra. Elle vint poser ses mains sur les épaules de Willy.

- Je pars au travail, dit-elle, interdit de sortir. Je le saurais si tu sort.

Janne posa un baiser sur la tête de Willy avant de sortir.
Willy attendit de ne plus entendre la voiture et alla à la fenêtre pour regarder la voiture de sa mère partir au loin. Willy retourna s'asseoir à son bureau et regarda les morceaux du vase.
Willy ferma les yeux. Il se concentra. Après un long moment où il garda les yeux fermés. Il vit dans sa tête l'image du vase reconstruit. Willy se concentra de nouveau à en avoir mal à la tête. Après quelque secondes, il rouvrit les yeux. Le vase n'était plus en morceau mais comme neuf. Aucune marque de fissure nul part.
Willy sourit et posa le vase sur le sol et attrapa son casque et ses livres. Il enfila son casque et commença à étudier.

Un soleil timide tapait sur les pistes du terrain d'athlétisme. La température était assez agréable pour cette saison. Charly était malgré tout en tenue de course assez légère. Il s'étira. Charly se mid en position sur la piste extérieure. L'oncle Frank, un sifflet et un chrono en main, était sur le côté de la piste prêt a donner le coup d'envoi.

- Prêt? Dit l'oncle Frank

Charly souffla et ferma les yeux. Il les rouvrit et contracta ses muscles.

- Prêt.

Charly regardait devant lui. Il sentait tous les muscles de son corps se gonflait. L'oncle Frank siffla.
En un instant, Charly était debout. Le vent fouettait son visage. Une sensation de liberté remplissait son esprit. Il souria et couru. Il fis un tour de terrain et s'arrêta devant son oncle. Charly respira rapidement. Il était heureux. La course lui apportait un plaisir immense. Il se tourna vers son oncle. Charly fut ettoné de voir son oncle bouche bé.

- Ça va pas? Dit Charly attelant.

Oncle Frank tendi le chronomètre a Charly. Charly, confus, le pris et regarda le temps. Il sauta de joie et cria.

- Record batu !

Oncle Frank stopa Charly dans sa joie. Il pose ses mains sur ses épaules et le regarda d'un air grave.

- Tu...

Oncle Frank chercha ses mots. C'était la première fois que Charly le voyait comme ça.

- Tu as battu le record du monde, dit-il, de cent mètre.

Charly recula et tomba au sol. Il regarda le chrono. Il affichait quatre secondes. Alors que Charly avait cru lire une minute et quatre secondes.

- J'ai fait un quatre cents mètre, commença-t'il.

- En quatre secondes, termina oncle Frank.

Les deux se regardèrent. Aucun ne compris la situation. Oncle Frank tendit une serviette à Charly qui s'essuya le visage. Un long silence plana sur le moment.

Willy travaillait dur. Même si il avait des facilités avec les études, il essayait quand même d'atteindre toujours la perfection dans ses notes. Tous comme Charly aimait courir, Willy aimait travailler son intellect.
Mais malgré son plaisir dans ses révisions, il s'ennuyait un peu. Sachant qu'il devrait être avec Charly et Oncle Frank, il n'avait envie de travailler.
Willy était sur ses révisions depuis maintenant trois heures. La faim se fait donc sentir. En entendant son ventre gargouiller, il se leva et alla fouiller dans l'armoire de son frère pour lui prendre quelque une de ses barres énergisante.

Après s'être avaler quelques barres, Willy retourna à son bureau. En jetant un rapide coup d'œil par la fenêtre, il vit la voiture de son oncle entrer dans la rue. Mais ce qu'il vit aussi le fis reculé d'un pas. Une silhouette flottait en plein milieu de la rue. Une silhouette encapuchonnée.
Willy se colla à la fenêtre, il regarda la silhouette en détail, mais il n'apercevait  rien, sauf les yeux de la so silhouette. Des yeux d'un blanc brillant, des yeux qui l'observait.
Willy sentit sa colonne vertébrale se glacer, ses poils se hérisser et son front se recouvrir de sueur froide.

Il prit quelques instants pour reculer tout en observant par la fenêtre. Puis il sursaute quand une main agrippa son épaule. Quand il se retourna, Willy vit Charly. Charly riait et avait un air fier.

Willy ne prêta pas attention à son frère et retourna à la fenêtre. Le silhouette avait disparu.

Pendant le repas préparé par l'oncle Frank, un silence régner. D'habitude il parlait de la matinée avec une nostalgie d'à peine quelques heures. Mais aujourd'hui, personne ne parlait.
Oncle Frank rompu le silence.

  - Vous ne parlez pas entre vous j'espère, dit-il, dans vos têtes.

Willy et Charly se regardèrent et échangèrent un sourire.

- Non t'en fait pas, dit Charly.

- Avec toi pas besoin on te cache rien, dit Willy.

Oncle Frank ne souriait plus. Il se leva et regarda les deux jumeaux l'un après l'autre.

- Mais entre vous, commença-t'il, vous cachez chacun votre secret, non?

Les jumeaux se regardèrent, confus.

Âmes Jumelles, Charly Et WillyOnde histórias criam vida. Descubra agora