Alors que les angelots, candides, puceaux et heureux dans leur innocence, survolaient la terre,
Ils passèrent, leurs ailes légères, sur le théâtre de ma naissance, un fiasco amer.
J'aurais voulu me susurrer, que lorsque les étoiles et les cieux ignoraient mes prières,
C'était parce que ces anges m'avaient déjà tout donné à la naissance, mais dans leur candeur sincère.
Peiner à croire ces contes que papa et maman me narraient,
Le monde, disait grand-père, est le jardin de l'homme, un havre de paix et de bonheur,
Pourtant, les années que j'ai traversées, résonnent de souffrance et de malheur.
J'aurais préféré me dire avant que ma mère m'infligeât la vie, de ne pas venir au monde sur cette Terre,
Que les anciens appellent l'enfer, le cercueil de nos aïeux, un cruel mystère.
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𝗕𝗿𝗮𝘀𝗶𝗲𝗿 𝗡𝗼𝗶𝗿 [𝔓𝔬𝔢𝔪𝔰]
PoetryUne fleur, je l'ai été, Vouloir bâtir un monde meilleur, j'ai espéré. Mais qu'est-ce qu'un monde sans toi, Ton odeur est le fruit de mes rêves. Tout comme ta peau, est la liaison me permettant d'accéder au paradis, et ce sans être mort. Ta voix est...