𝗘𝗿𝗮.

174 40 24
                                    

Si un jour tu viens à devoir périr, laisse-moi être celui qui mettra terme aux jours heureux que tu m'as fait passé.

Car ta mort sera la mienne et ne tiendra pas longtemps en joug l'amour que j'ai éprouvé.

Où tu iras, je serai ; où tu pleureras, je te vengerai.

Car je suis le cavalier de ton cœur, comme tu as été le bleu pur, ayant pansé mes peines, mes chagrins et mes maux.

𝗕𝗿𝗮𝘀𝗶𝗲𝗿 𝗡𝗼𝗶𝗿 [𝙿𝚘𝚎𝚖𝚜]Where stories live. Discover now