Chapitre 1

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Du sang. Tellement de sang, des rires pitoyables et des coups de poings à ne jamais finir. C'est comme ceci que les journées de notre pauvre petit Angelo commence..
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- « Tu vas changer d'école. » L

Une mère pleine d'inquiétude viens de parler (Lillianne), Angelo sait que ça ne vaut pas la peine de riposter. Les fins de journée se finissent par un nettoyage de blessures de la maman d'Angelo, qui ne peut cacher ses vilaines blessures à sa chère maman poule. Car, évidemment cachée des choses à sa mère est impossible! Alors pourquoi essayer?

- « D'accord. » A

Gio ne peut riposter par son manque de force, malheureusement, changer d'école signifie de laissé sa meilleure amie dans ce trou sans fond.

- « Tu vas commencer demain et tu vas aussi loger dans les dortoirs partagés avec une autre personne qui commencent dans une semaine après ton arrivée. Je ne veux aucun mais. » L

Il acquiesce, Angelo ne veux plus parler. Il veux juste se reposer et se détendre l'esprit.

Sa mère (Lillianne) finis de lui nettoyer le visage et le laisse filer dans sa chambre.

Une fois dans sa chambre, Gio appelle sa meilleure amie, Roxane.

- « Gio! Comment vas-tu? Ils ne t'ont pas manqué cette fois si à ce que je vois. » R

- « Je pars du lycée. » A

- « attends- attends.. quoi? Tu pars du lycée? Nous venons juste de commencer la première! » R

- « Je sais. Ma mère me l'a obligé. » A

- « Pénible ta vie mon gars. » R

Un silence tomba entre eux.

- « Ta tête blonde me manquera. Et surtout tes cheveux tout duveteux! » R

Angelo lâche un petit rire. Il ne l'avouera jamais, mais Roxane vas lui manquer aussi.

Ils discutèrent encore un peu et finissent par se dire au revoir. Encore une fois, Angelo se retrouva seul. Comme tout les jours de sa vie. Ses pensées envahissent son esprit, des pensées mal foie, pas très positive. Il se retrouve à saigné encore et encore sur ses cuisses. Des ciseaux biens cachés, c'est tous ce qu'il faut. Fatigué par les guerres mentales constantes qu'il le compose, Gio s'endort encore habillé et mal en point. Peut-être que les mères ne savent pas tout finalement.
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« Il y a des êtres qui nous touchent plus que d'autres, sans doute parce que,  sans que nous le sachions nous-même, ils portent en eux une partie de ce qui nous manque. »

- Anima Wajdi Mouawad

Donne moi une raison (bl, gay)Donde viven las historias. Descúbrelo ahora