𝗖𝗮𝗻𝘁𝗮.

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Le temps à perdu de sa valeur,
Dans cette étendard une âme se meurt
Et de ton cœur fleurie l'espoir,

Les roses arraché peigne ton nom de mon sang, le crépuscule dévore mes pensées grises.

Dans le silence de la nuit, ta voix s'efface, Glissant comme le sable entre mes doigts là où chaque larme se glace

Ta lumière s'estomp, Laissant mes rêves en cendres, sans raison.

Écho d'un amour qui dans l'ombre expire, Je cherche encore ce qui de nous pourrait renaître ou fuir.

J'ouvre mon être, libéré de la misère,
Un dernier regard vers ce qui fut, éphémère.

La liberté de l'âme, enfin délivrée,
De ce fardeau terrestre, pour toujours envolée

La paix s'infiltre, douce, dans les veines lasses,

La fin, une promesse, plus douce que la lame.

Dans cette valse avec le temps qui passe,

Puisse trouver la force de tout laisser derrière, que l'on s'embrasse

les souvenirs se mêlent à l'oubli,
où la douleur s'efface sous le calme divin

Le diable a gâché la laideur moderne en ignorant tes traits

Tais-moi ces mots amers,ce poison parmi mes vers

Car il m'incombe désormais, de vous compté cette fin

Cette fin dont se dessinent des sourires fanés,
Où se taisent les vieux tourments autrefois murmurés

Celui de cet astre fugace, éphémère,
Cette ardente chaleur, palpable et si facile à désir

Ces reliques auxquelles nos cœurs s'accrochent aveuglément,
Ignorant la sombre valse avec ce destin imminent

Je dépose à mes pieds une rose souillée,
Son éclat terni, dans le silence relayé

Ces adieux, murmures éthérés de mon être,
Dictent-ils le chemin de ce que dois-je paraître ?








𝗕𝗿𝗮𝘀𝗶𝗲𝗿 𝗡𝗼𝗶𝗿 [𝙿𝚘𝚎𝚖𝚜]Where stories live. Discover now