La main me tremble en écrivant,
Mon ami, il n'y a plus de vie et ne reste que peu de vivants,
Tout se calcine sur la terre et sous les sols,
Et je cherche une lueur, une boussole,
Mais mon cœur se serre autant qu'il saigne,
Dans cette misère sans règne,
Unique témoin et scribe de ce malheur,
Je pleure que personne n'entende,
La plainte du vent,
Il n'y a que mes vers qui chantent encore la douleur,
C'est le chant du poète qui n'émerveille,
Que les chancelants éternels.Lowsleeperr.
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Confessions sur Gaza
PoetryCes textes révèlent un paysage dévasté où le feu de la résistance et de l'espoir brûle sans relâche, illuminant les voix étouffées et les rêves des enfants au milieu des cendres de la cruauté humaine. Conscientiser, laisser une trace écrite de l'hor...