L'inconnu

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Chapitre 1: L'inconnu

Juin 1942, France.

Je me présente Mathilda et j'ai 16 ans. Étant orpheline je n'ai aucun souvenir de mes parents: ma mère est morte après ma naissance et mon père s'était suicidé ne pouvant supporter de vivre sans sa femme. Enfin tout cela je le sais grâce à la femme qui m'adopter et élevé : ma tante.

-Mathilda ! Il ce fait tard alors va te coucher demain tu commences tôt !

-Oui tante Pauline !

Je montai à l'étage, me mis en pyjama, me brossai les dents et partis me coucher. Quelques secondes après j'étais en train de remuer dans tout les sens essayant de trouver le sommeil en comptent les moutons mais rien à faire Morphée m'empêchait l'ouverture de ses portes. Je décidai donc de sortir de ma chambre mais une chose imprévu ce passa. À peine avais-je poser un pied à terre qu'une ombre apparue et posa un bout de tissu inconnu sur ma bouche. Paniquer je respirait - enfin essayai de respirer - un grand coup quand... le noir complait se fit.

********

J'ouvris de nouveau les yeux encore à moitié endormi. Je regardais autour de moi et commençai à paniquer quand je me rendis conte que je n'étais plus dans ma chambre. Me levant du lit où j'étais allongée je partis en direction de la porte et l'ouvris précipitamment. Avant même de pouvoir faire un pas en avant je fus bloquer par un torse. Je levai la tête et tombai dans un océan de bleu turquoise.

-Que fais-tu ? M'a-t-il demandé dans un accent parfait.

-Je... rien...

-Retourne sur le lit...

Je ne discutait pas obéit à son ordre allant m'asseoir sur le lit. Il tenait dans ses mains un plateau où il y avait un bol de soupe encore fumante et une miche de pain sec. Je regardai cet homme intrigué par sa carrure: les cheveux blonds, les yeux bleu turquoise en forme d'amande, le nez fin et légèrement pointu, les lèvres pulpeuses, de larges épaules et des bras forts donnant l'impression d'être protéger. Mais qui est-il ? Que me veut-il ?

-Que me voulez-vous ?

-Rien qui ne puisse te faire du mal.

-Et qui êtes-vous ?

-Paul Vorstrasche.

-Vous êtes... commençais -je abasourdi.

Il me laissa dans ma stupeur et me tendis le plateau qu'il tenait entre ses mains.

-Mange.

Je voulais décliner son offre ne voulant pas faire confiance à ce soldat mais mon ventre se mis à gargouille. Je rougis de plus belle avant de prendre ce qu'il me tendait.

-Merci... Ai-je murmurer timidement.

Je pris la cuillère et commença à manger sous les yeux scrutateurs de Paul. C'est repus que je lui ai rendu mon plateau. Il me sourit et j'en fus surprise. Paul se leva par la suite et s'apprêta a sortir quand je l'interpellais.

-Euh... excusez-moi

-Oui ?

-Pourquoi suis-je ici ?

Il attendit quelques minutes avant de me donner une réponse:

-Pour mon propre plaisir

Je rougis légèrement et lui demanda avec incompréhension en beguellier:

-Co- comment ça ?

-Parce que je le veux.

-Cela ne ce passe pas ainsi ! Criai-je.

Je me levai précipitamment du lit où j'étais installée pour lui hurler.

-Vous ne pouvez tout simplement pas ! Vous ne possédez aucun droit sur moi ! Je ne suis pas un objet ! Comment osez-vous...

Ma phrase mourut dans un murmure car je fus bousculée en direction du lit. Je fermai les yeux sous la violence de l'acte et une fois que tout fus calmé je rouvrit les yeux et trouvai le soldat au dessus de moi à quatre pattes. Ses yeux brillaient d'une lueur étrange, indescriptible.

Souvenir du passéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant