Le fou est le roi

Tome 1: Madness

1

Le réveil sonna à six heures. Johnattan se réveilla. Il se couvrit du mince tissu rouge qui traînait sur son lit. Son portable s'alluma,il venait de recevoir un message.

''Dans deux heures, devant le repère.''

Il prit ,alors, sa chemise noire, son pantalon et sa veste blanche.Devant la glace, il remit sa courte mèche brune et dessina sur son visage, les traits d'un clown diabolique.

Il prépara, ensuite, son sac. Il emporta une mitraillette, un pistolet et un revolver de calibre 9.

Le téléphone se ralluma, un deuxième message apparut :

''A tout de suite, devant le café !''

Il sortit de chez lui.

Dans la garage, qu'il venait d'ouvrir, une sublime Camaro noire l'attendait. Il déposa son sac dans le coffre et partit au café.

Là-bas,Nicole Krishmann était assise à une table. Il s'avança vers elleet l'embrassa tendrement. Ils discutèrent longuement quand huit heures sonna.

Trois fourgons noirs arrivèrent à toute allure devant le café.

Un homme en pare-balle accompagné de dix autres en cagoule entrèrent armés. Les clients crièrent. Johnattan se leva. Un des hommes lui donna un revolver. Il marcha lentement vers l'homme en pare-balle,pointa le revolver.

Il eut un silence, il se retourna, observa la salle avec attention,ferma les yeux et tira sur les clients, le barman ainsi que sur la jeune femme qu'il avait séduite.

''Hasta la vista baby...'' dit-il sans porter un regard sur la pauvre étendue, sanglante sur le sol.

Il se rendit, plus tard, avec ses acolytes, à la banque.

Johnattan entre dans le hall d'un air sombre et calme. James, son meilleur complice, marchait à côté de lui. Leurs pas semblaient lourds et lents.

Puis Brandon, un autre complice, arriva avec avec le reste du groupe,armés jusqu'aux dents.

Les coups de mitraillettes surprirent les gens. Un ami de Brandon criait :

-''A terre! A terre !'' pendant que Jason leur accrochait les mains à une mini-bombe.

Johnattan et James dirigeaient l'opération. Johnattan marchait le long des guichets et vu une jeune femme à son goût :

-''Toi !C'est quoi ton nom ?!''

La pauvre femme bégaya :

-''Carolina Winsfield.''

-''Viens ici !'' dit-il en la prenant pas le bras.

Carolina le suppliait. Il la prit contre lui. Les malfrats qui s'occupaient del'argent arrivèrent avec de très gros sacs. Il embarquèrent dans les fourgons et partirent vers les bas quartiers de New York. Alors que la police arrivait, les bombes posées dans les mains des otages,explosèrent.