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"La chambre beignait dans une obscurité terrifiante, mais qui en sa présence me parût douce et bercante, Une obscurité qui était brisée par la brillance de nos yeux scellés, accrochés les uns aux autres. Nos souffles se melangerent, nos bouches se frolèrent légerement pour finir en deux amants obligés de s'attirer. Nos mains se toucherent en esperant ne jamais se quitter. Nos corps se collerent. Nos langues jouerent ensemble sensuellement pour enfin laisser prononcer : Jamais l'un sans l'autre. "







LA SORBONNE,PARIS.
24 Décembre 2011
10h30

" Mes grognement plein de desir brisait le silence qui regnaient dans la chambre. Pour une première fois, un garcon me touche librement sans que je le repousse. Il commenca par m'embrasser le cou bouche fermée puis légerement ouverte. Il est sur moi, Torde nu, son regard profond fît effet sur moi et je grogna encore plus. Je sentis sa bouche s'emporter sur ma poitrine, Sa langue qui titillait gentillement mes tétons. Il remonta vers ma bouche me mordre la lèvre inferieur ce qui me fît perdre mes moyens. En gardant nos deux lèvres scellés, Sa main baissa jusqu'à mon bas-ventre. Il me caressa.Il m'embrassa. Il me caressa. Il m'embrassa. Jusqu'à ce que je sentis sa main sur mon vagin. C'étais la première. La première fois que je ne m'abstient pas de ce plaisir. La première fois où je ne respecte pas mon corps. La première fois ou je m'offre a quelqu'un d'autre. Mais pas n'importe qui. A quelqu'un que j'aime."

-Mademoiselle Montgomry. Cela est une chaise, donc pour information un lit est beaucoup plus confortable pour dormir. Où est le lit vous alliez me dire ? Chez vous. De 1 et 2 on conclu que si vous voulez dormir partez chez VOUS. Cracha la prof de mathématique , Me faisant quitter mon sommeil alors que la sonnerie sonna au bon moment.

Je prit mes affaires et me dirigea vers la sortie quand une main attrapa mon bras. Son regard rigide et dur qui me pointait, son visage rideux commencant a s'abimer. Sa morphologie en V me faisant rappeler ma mère. Elle me regarda sans prononcer un mot. Elle me regarda comme pour me dire fais attention. Elle me regarda comme si elle savait que je souffre. De quoi et par qui. Elle me regardais lorseque j'echappa a son emprise. Je sortis bouleversée et embrouillée parceque cette femme en sait un peu plus de ce qu'elle devrait. Elle sait que ma douleur n'est ni d'une blessure. Ni d'une trahison. Je me mit devant mon casier quand je vis des lettres inscrites dessus : On souffre quand on sait que le lendemain le manque de quelqu'un va nous tuer petit a petit. Un creu se fit au niveau de mon bas ventre. Je ne sais pourquoi mais cette phrase me fait l'effet d'une mort a petit feu.

Parceque je t'aime.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant