Les vestiaires de quidditch

Chapitre unique

Encore une fois harry se retrouvait dans ce satané vestiaire a une heure beaucoup trop matinale. Cela faisait bientôt un mois que le garcon était réveillé à des heures indécentes par des rêves perturbants. Non plus ses habituels cauchemars, vision du vieux à la face de serpent maintenant réduit en cendre non pire ... enfin pire .... pouvait-on véritablement trouver ces rêves mauvais ? Le golden boy était réveillé par des rêves érotiques ... torride,chaud, bouillant, brûlant et tout un tas d'autres qualificatifs pouvaient décrire l'état dans lequel il se réveillait. Pourtant Si le garcons était autant perturbé par ces rêves, sommes tout banals à son âge c'était à cause du protagoniste principal de ces rêves qui n'était autre qu'un grand blond aux yeux argent, attrapeur des serpentard, fils de mangemort aux mots venimeux et au physique des plus bandant. Oui cela faisait 1 Mois que harry potter , sauveur du monde sorcier, celui-qui-a-survécu fantasmait sur sa némésis : draco malfoy .

Et ce n'était pas de simples rêves érotiques comme tout les adolescents de son âge avaient non c'était beaucoup plus que ça. le garcons imaginait des séances de sexe plus qu'intense dans les bras du blond, il s'imaginait le supplier de le prendre, il l'imaginait jouir en lui disant qu'il l'aimait, bref plus qu'un fantasme le griffondor etait tombé amoureux du prince des serpentard.

Alors depuis un mois pour calmer ses érections turgescentes Le Brun prenait une douche bien froide puis partait voler 1 ou 2 heure pour se changer les idées.  Puis il redescendait de son balais pour rejoindre les autres au déjeuné dans la grande salle après une bonne douche brûlante dans les vestiaires de quidditch.

Vestiaires dans lesquels il était actuellement sous une eau glacé. Il avait tout fait Comme d'habitude il s'était réveillé en sueurs, avait pris une douche bien froide puis il avait volé presque deux heures, avait contempler  Le lever du soleil et était redescendu. pourtant maintenant sous la douche il avait toujours cette chose abominablement douloureuse dressée entre les cuisses.

Pourquoi ? Tout simplement par ce que cet idiot de survivant une fois nu sous la douche s'était imaginé rejoins par le blond. En soupirant douloureusement Le Brun consentit enfin à calmer cette douleur de lui Meme puisque son corps semblais ne pas vouloir le laisser en paix. Prenant appuis contre le mur, laissant l'eau glacée couler le long de son corps d'athlète le lion pris enfin son sexe douloureux en main et soupira de plaisir en se caressant. Imaginant les mains d'un beau blond sur son corps, sa peau frissonna, ses yeux se fermèrent de plaisir et bientôt emporté par le plaisir Le Brun se mit à gémir.

De son côté le prince des serpentard se réveilla de bonne humeur, depuis que le psychopathe à la face de serpent avait quitté la surface de la terre le garçon se sentait enfin libre de vivre sa vie Comme il l'entendait. Son pere pourrissait à azkaban et sa mère faisait tout pour combler son petit ange lui laissant enfin goûter à la vie d'un adolescent normal. Le blond décida donc d'aller voler en attendant l'heure du déjeuner, voler lui donnait toujours le sourire et quoi de mieux pour commencer une bonne journée que de voltiger autour du magnifique château qu'était poudlard ? Ignorant les grognements de son colocataire et meilleur ami Blaise zabini, il s'habilla et descendit dans la cours du château pour rejoindre le stade de quidditch . Se dirigeant vers son vestiaire il prit son balais et s'apprêtait à quitter le vestiaire Quand Attiré par des gémissements discret le blond reposa son balais pour voir qui était assez stupide pour se donner du plaisir dans un lieu publique. Il s'approcha silencieusement de la porte des douches, convaincu qu'il tomberai sur un gryffondor après tout jamais un serpentard ne s'adonnerait à ce genre de plaisir solitaire dans un lieu ou on risquait de le surprendre, encore Moin dans les douches communes aux ennemis mortels de leur maison, Néanmoins en bon serpentard qu'il était draco ne pouvait pas non plus laisser échapper une si bonne occasion d'humilier l'un de ses camarades rouge et or.