espoir perdu d avance

J'ai bien hésité avant de me décider à publier cette nouvelle alors j'espère vraiment qu'elle plairait ! J'essaierai de publier les chapitres de les portes de l'horreur le plus vite possible mais je ne vous promet rien ! Ce que j'ai à dire n'est pas des plusagréables. Je dois même avouer que je suis d'unehumeur très pessimiste et c'est parfaitement clair dans ce que j'ecris,Bon je vais éviter le blabla habituel donc voili voilou !

PS: je suis qtteinte d une leucemie, et c est pourquoi je l ai ecrit

hope u like it, share, like , and comment ^^

Je suis tranquille dans une toute petite chambre. La chambre est dans un immense hôpital.

La fenêtre donne sur la mer, non pas vraiment! La seule fenêtre dans cette chambre donne sur un

couloir où il y a un fauteuil. Une femme que je connais, ou peut être c’est juste mon sentiment qui

me dit qu’elle est quelqu’un de si proche.Je feuillette un vieux carnet, drôle d’impression, je

retrouve mes dessins, mes photos etquelques vieux textes, mes notes ont pris une autre allure, je

les contemple encore, c’est un peucomme une naissance, je les découvre, je suis tellement

effrayée. La chambre est très paisible, jesuis tranquille et c’est loin d’être ma nature. Mes os sont

douloureux, ma peau est froide, je mesens si fatigué, si épuisé. Les mots se bousculent dans ma

tête, des mots bien choisit et en desimages rares. Pas de brutalité, je suis si loin de tout dans

cette chambre isolé au milieu de la vie.J’ai envie d’acheter quelques fleurs, des fleurs de

printemps, des fleurs vivantes et colorée. Ilcommence a pleuvoir contre le vitre, non, en fait se sont

les larmes de cette femme qui coulent lelong de son visage angélique raté, je me demande

pourquoi, je poursuit ses yeux rouge ethumide, je me retourne derrière moi, je me vois flotter loin

de ce lit entouré de machines un bizarrebruit tel sifflement, cette fille je la connais, sa bouche

mauve me rappelle de quelqu’un que jeconnais très bien, son corps achevé par le sommeil et sa

peau pâle l’aurait laissé pour morte, sapoitrine ne se soulève pas, c’est à cette instant seulement

que je me rendis compte qu’elle a quittéle monde, je me retourne derrière moi, je me regarde

dans le miroir mais je ne vois pas maréflexion, non, c’est impossible! Mais cette fille est vraiment

moi! Je savais que je n’en sortiraispas vivante, mais pourquoi je n’ai pas peur? Est ce que c’est

parce que je l’ai souvent voulu?

J’ai pris place à coté de la femme en pleurs, j’ai vu droit dans ses yeux, un monde ou ne

règne que la douceur, Eden qui s’offre de ses yeux, cette femme est un ange parmi les mortels,

jem’approche d’elle, je caresse son visage d’ange, ce geste de bon volonté l’extirpa de ses

songes et elle s’approche du vitre pour pleurer mon départ. Cette femme est ma mère, elle a

réclamé à la pleine lune mon retour. Tout se bouscule dans ma tête, cette femme est si

particulière pour moi, bien sur elle est ma mère, et je présentais tout ce qu’elle avait toujours

voulut. Je me sentis soudain rangé par un mal que je n’ai jamais connu, je veux crier mais malgré

ma bouche béante aucun son ne sorts, et la douleur qui est née dans ma poitrine atteint ma gorge.

Cette nuit là je n’ai pas de cœur, et pas de vie. Aujourd’hui je vais me promener seule a la

lueur de la lune, je vais m’assoir seule sur une branche d’un saule et sentir pour la première fois

la liberté, le fait d’être libéré de tout mal, de la souffrance, de la leucémie. Je me souviens très bien

de la peur qui m’habitait, quel gâchis! C’était une histoire d’espoir, de volonté perdue d’avance.