La lumière bleutée de l'écran colore les couvertures
Et toi, tu soupires
Proche, derrière les rideaux opaques du studio
La ville insomniaque
Étreint de son lourd et triste halo doré
La voix lactée
Qui aurait deviné son plus beau et misérable
Le Silence
De ton esprit vidé et fatigué
De penser
Pourquoi se torturer, répond la dopamine
Distrais toi
Je ne désire que me
noyer
dans
le
plaisir
Tu acquiesces docilement.
La pléiade dansante des étoiles enivrées
Ne
Penses tu pas
Qu'elle t'a oubliée ?
Au-dessus de toi, dans des sommets astronomiques
Elle se pavane.