L'Unité 472

6 0 0
                                    

L'unité 472

Leningrad, Décembre 1941, L'opération Silberfuchs visant a attaquer la ville a commencé, trop bien défendue par les Blindés, soldats et Snipers soviétiques, l'avancée germanique est stoppée, Hitler donne l'ordre de couper Leningrad de tout approvisionnement en vivres ou munitions et fait donc de cette attaque, un siège!

3 jours plus tard...

Les défenses soviétiques tiennent toujours aussi bien, du coté allemand, les soldats sont frigorifiés par le vent et la neige de l'hiver russe, désormais, même ordonné par le Führer, une attaque serait impossible, les redoutables chars lourds allemand "Tigre" ne rugissent plus, le froid glacial a bloqué les segments et roulements, immobilisant ce qui était censé être le Fer de lance de la campagne hitlérienne, plus de 980 chars lourds sont pris dans les glaces des steppes russes, du coté soviétique, sa rigole bien, Vodka, feu de bois, grosses vestes bien chaudes, autrement dit, le total opposé de la situation allemande, qui ne fait que s'empirer.

La nuit commence a tomber, il est 20h15, à part le vent qui siffle, il n'y a aucun bruit, aucun tir, aucun mouvement, dans les deux camps personne ne tente rien, enfin si, le Commandant Vladimir Tribouts qui diriges les troupes russes cantonnées à Leningrad sort de son QG de fortune et allume une cigarette sur le pas de la porte, un officier le rejoint;

-Encore une nuit bien froide pour ces salles boches, ils ont enfin la monaie de leurs pieces, ils risquent plus de nous faire grand chose, pas vrai Camarade Commandant?

-Mmmmh, oui, mmmpfff...Pfffuuuuu, y'a juste une chose qui turlupine un peu, à vrai dire, sa m'angoisse!

-De quoi voulez vous parler Camarade Commandant?

-les unités de reconnaissance aérienne ont compter plus de 900 chars dans la division qui nous a attaquer, a part des cadavres des side-car et des fourgons déglingués sur un bon kilomètre, je n'ai vu aucun char!...ou sont ils?

Le commandant commence à se mettre en colère contre l'officier;

-Je croyait pourtant vous avoir demander d'observer leurs moindres faits et gestes!

-Mais, camarade Commandant, lorsqu'ils ont attaquer ils n'avaient aucun soutien blindé croyez moi!

Le Commandant Tribouts est inquiet, il dit voir deux alternatives d'offensive a cela;

-Camarade officier, je connais ces fourbes d'allemand, pour moi, sois l'offensive allemande de cette après midi n'était qu'une diversion, ou bien, ils sont la, cachés, si sa s'trouve a l'heure ou on parle, ils nous encerclent!

-Camarade Commandant, ce votre respect, ne le prenez pas mal mais, je pense que la deuxième option est à proscrire, je doute que l'on puisse ainsi dissimuler un bataillon de-plus de 900 chars!

-Mouais...j'ai parfois des idées un peu farfelues quand je suis en stress...Camarade Officier!

Le commandant écrase sa cigarette dans le cendrier qui se trouvait sur une table non loin de l'entrée et les deux hommes rentrèrent, une heure et demi plus tard, le Commandant ressors fumer une cigarette, il pose son verre de Vodka sur la table et allume sa cigarette, le vent sifflait doucement, il n'y avait pas un bruit, quand tout a coup, il entend des bruits de pas au coin de la rue, il met sa cigarette en bouche et descend sa main le long de son corps pour atteindre son pistolet, il le dégaine et le charge en faisant le moins de bruit possible, il pointe son arme vers le coin du mur et attend sa cible, soudain, un soldat soviétique apparaît, il s'approche du Commandant au pas de course et se met au garde a vous, il tendit un document en disant;

-Télégramme pour vous Camarade Commandant!

-Merci, vous pouvez disposer!

-A vos ordres Camarade Commandant!!!

You've reached the end of published parts.

⏰ Last updated: Mar 15, 2019 ⏰

Add this story to your Library to get notified about new parts!

L'unité 472Where stories live. Discover now