tavelé d'étoiles

tavelée d'étoiles

Tavelée d'étoiles, elle parcourt une route semée d'embûches, elle bûche son travail tout en trébuchant sur son bûcher bouchant son bout de chemin.

Tavelée d'étoiles, elle essaie sans succès, essuyant ses erreurs se succédant sans son consentement.

Tavelée d'étoiles, elle décanille devant le monde d'aujourd'hui, devant un monde enduit de dégoût.

Tavelée d'étoiles, elle se perd dans ce paradis qu'elle peint par son esprit pour panser son passé parsemé de noirceur.

Tavelée d'étoiles, elle confie sa confiance à un con qui la corrompt et qui conte des contrevérités à ces connaissances, comme pour continuer ses conneries.

Tavelée d'étoiles, elle joue pour des gens des joyeusetés joliment jouée, son jeu jouant du jazz, les gens la jugeant pour son visage.

Tavelée d'étoiles, elle traverse l'herbe tout en fumant sa partition raturée abritant tant d'idées n'ayant pas aboutis.

Tavelée d'étoiles, elle pleure pour personne ou plutôt pour pleins de personnes, mais pour personne présent pour elle parce que personne ne lui prête attention.

Tavelée d'étoiles, elle laisse l'amour s'en aller loin, voulant l'oublier, malgré les papillons qui volent à l'intérieur de son être.

Tavelée d'étoiles, elle flanche, les failles de sa façade faiblissant, son esprit flapi fane, fabulant une fin féerique.

Tavelée d'étoiles, elle meure maudissant le meurtre de la mort, mais se mouvant quand même vers elle.