Entre nos liens

Fin de ma liberté

J'enlace pour une dernière fois ma mère qui pleure a chaude larmes. Je la rassure comme je peux en essayant de sourire, lance un dernier regard a mon père qui lui ne me regarde pas. Ces yeux sont fixé sur ses pieds comme si les relever vers moi serais trop douloureux, comme si ça pourrait le faire flancher. L'homme de loi me ramène a la réalité et me pousse dans le fourgon de couleur noir et ou l'intérieur et en métal gris avec des petits bancs en bois abîmés. Je ne suis pas seul, nous sommes plusieurs hommes, les mains liés et nous partons pour notre séjour plus ou moins long selon l'individu vers notre cage.

Je suis Eijiro Kirishima, j'ai 25 ans et je viens d'être jugé coupable d'un vole a main armée dans une banque. Ce n'es pas moi, mais il parait que tout le monde dit ça. Moi je ne sais pas, je n'es jamais était un délinquant. Je jette un œil au autres détenues autour de moi, ils ont tous le visage grave et pencher vers le bas. Certains ont le visage très nettement marquer par la vie : des entailles, des cernes violacé, des mains abîmés de travailleurs, des marques de piqûres sur les bras et pour certains de nombreux tatouages.

D'autres semble plus proche de moi, des jeunes au regards plus rebelle que le mien. L'un d'eux attire particulièrement mon attention par son sourire. Des cheveux blond, que je soupçonne d'être décolorer étant donner le ton jaune de ceux ci et le genre d'éclair noir qui y trône. De grand yeux dorés et un sourire serein qui jure au milieu de nous tous qui faisons au mieux une tête neutre. Il est assis a côté de moi et remarque bien vite mon intérêt. Il me souris et entame alors la conversation :

- T'es nouveau hein ?

- Nouveau ? J'ai raté la distribution des cartes membres ?

Il rit a ma blague et reprend :

- Ok je m'exprime mal. Ce que je veux dire c'est, c'est ta première fois en prison ?

- Oui.

- Tu as fais quoi pour te retrouver la ?

- Absolument rien.

- Tout le monde dit ça.

- Il parait oui.

Il tend ses mains liés vers moi comme pour me serrer la main, je la lui sert rapidement puis il continue a sourire sereinement et rajoute :

- C'est quoi ton nom ?

- Eijiro Kirishima.

- Denki Kaminari.

Je hoche la tête pour signifier que j'ai bien entendu son nom. Nous ne sommes que dans le fourgon et quelqu'un me parles déjà. Je n'es jamais eu du mal a me faire des amis, les gens viennent toujours vers moi très facilement. On ma avertie avant que je finisse dans ce fourgon qu'en prison ont essayerait de m'acheter, qu'il fallait que je me méfie de tout le monde et j'ai moi même vu suffisamment de film pour le savoir.

Nous n'avons pas le temps de discuter plus que ça que le fourgon ce gare dans une grande cour. Ont viens nous ouvrir et nous distribue un numéro a chacun. Je tombe sur le N777 et Denki le N775. Suite a ça ont nous met dans les mains des baluchons nous expliquant le contenue qui n'est rien d'autre que nos affaires personnelle en prison. Le gardien nous précise qu'on en est responsable et globalement que si ont en perd ou en abîme une partie ça ne sera pas son problème.

Ensuite ont nous emmène dans une grande pièce éclairer par de vieux néons clignotant a moitié  et ou des lits sont séparer part des paravents, ont nous appelles chacun par nos noms en nous indiquant un lit a rejoindre. Une fois appeler je rejoint le miens et tombe sur un homme brun au cheveux long un air blasé sur le visage et des cernes frôlant sa bouche tant elles sont étendu. Il me demande de m'asseoir et s'en suis une tcheck up ou il vérifie mes yeux, mes oreilles, ma bouche, ma tension et .... comment dire ça élégamment ? Que je ne cache rien au dedans de moi. En voyant ma tête l'homme lâche un rire un peu méprisant :

- Si tu t'offusque pour si peux tu va pas tenir deux secondes en prison gamin.

Je le regarde sans vraiment comprendre l'allusion. Il rie encore plus et m'ordonne de m'habiller dans le complet orange fluo du détenu. Le mien est un peu grand, je retrousse les manches et les jambes afin d'être plus a l'aise et attend patiemment que mes camarades d'infortune passent eux aussi entre les mains des médecins. De loin je vois Denki rire avec le médecin qui s'occupe de lui et lui lancer des regards plein de sous entendu. Est-ce que j'ai envie de comprendre ? Non. Non monsieur même.

Nous continuons alors notre super ballade dans la prison au murs anthracite remplie de détenues qui nous regardes comme la nouvelle curiosités dans leur vie morne d'hommes enfermer. Ont m'arrête devant une cellule que je devine comme étant la mienne, j'y rentre et remarque que des affaires y sont déjà installer. Ont m'enlève mes menottes et referme derrière moi.

Je jette un œil au affaire autour de moi puis je remarque que le lit du haut de nos lits superposé ne semble pas pris. Lucky ! Je m'empresse d'y installer mes affaires ainsi que dans un petit bout de l'armoire qui reste. De l'autre côté de l'armoire j'y vois des vêtements ranger dans une précision militaire. Mon voisin de cellule semble méticuleux. Je me demande bien ou il est passer d'ailleurs. Je fini par m'allonger sur mon lit, une main sur le ventre le regard fixé sur le plafond et je fini par fermer les yeux.

Mon sommeil et de courte durée quand je me fait réveiller sauvagement par deux mains qui empoigne férocement mon vêtement. J'ouvre difficilement les yeux et ils tombent dans deux yeux rouges visiblement très en colère. Je me réveille rapidement et en regardant plus en précision je remarque que ces yeux appartienne a un garçon d'environs mon âge, blond et visiblement très en colère. Qu'est-ce que j'ai fait ?

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Voici ma nouvelle fiction. Pour ceux qui suivent mes autres fictions : Déjà merci haha, puis je tiens a vous rassurez, je n'abandonne ni "Le jour ou tu as fait de moi un humain" et "School days" mais j'avais vraiment besoin de faire autre chose pour me redonner envie d'écrire. Merci d'avoir lu ce chapitre et j'espère que cette nouvelle histoire pourras vous plaire autant que les deux autres bien que l'univers change

Pour ceux qui lise pour la première fois mon travaille : Merci a vous aussi, j'espère que mon imaginaire vous parleras et que je saurais vous emmenés avec moi dans cette histoire malgré les fautes (oui j'en suis consciente, je suis disorthographique mais je ne veux pas que cela m'empêche d'écrire des histoires, je vous devine bienveillant et vous remercie par avance :p)

Merci a tous d'avoir lu ! N'hésitez pas a me donner vos suggestions, vos avis, vos retours :)