La fabuleuse histoire d'Inezia Stone

Chapitre 1 : La Rencontre

Je m'appelle Inezia. Inezia Stone. Je suis française et j'ai fui mon pays pour diverses raisons. Mais pour l'instant ce n'est pas le sujet. Désormais je me fabrique une nouvelle vie aux Etats-Unis. J'habite à Gotham, une ville pollué et malmené par des agressions. Génial...Je n'ai pas d'argent, je n'ai pas le choix, je suis immigré c'est super.

Mon psy m'a dit d'écrire ce journal, je suis devenue folle à force d'être gentille et de subir les méchancetés des personnes.

Jour 170 :

Je commence en avoir marre des déchets partout dans cette ville de merde. Mon immeuble sent la weed à plein nez, les agressions sont de plus en plus fréquentes dans mon quartier. Bizarrement personne m'embête pour l'instant. Est-ce qu'ils savent qui je suis ?

Je pars pour mon travail, ouvrière dans une usine de plastique. Je suis assise dans le métro en direction de celle-ci. Je vois un gang de personnes qui bousculent des innocents , je suis avec mes écouteurs et je ne fais pas attention. Quand tout à coup, un de ces gars vient s'assoir à côté de moi et m'interpelle. Je tourne la tête, je ne fais comme si je n'avais rien vu, car le sang commençai à me monter à la tête.

- Eh Mademoiselle, je t'ai parlé, soit gentil et aimable quand on t'adresse la parole disait-il en m'arrachant les écouteurs et en pointant un couteau vers moi

Surprise, j'étais en quelque sorte sans défense. L'homme commençai à avoir des gestes déplacés envers ma personne. Je me debattai, quand la porte du métro claqua et je vis un personnage hors du commun.

- Alors, on est méchant avec les femmes. Ce n'est pas comme cela que tu en auras une et que tu vas conclure, disait l'homme mystérieux avec un rire qui envahit le métro.

L'agresseur se retourna et donna à l'homme un coup de couteau, quand il comprit à qui il avait affaire, son teint devint livide et ses mains tremblèrent.

- Merde, le J..o.k.. e..R .. Sa voix tremblait

Il n'y avait plus aucun son dans la rame de métro. Du sang coula de la main du Joker. Je sentais celui-ci ne faire qu'un demi-tour, mes canines commençait à s'allonger ainsi que mon corps qui se transformait.

- S'il vous plait, nettoyer votre main. Je ne peux pas me contrôler disais-je

- Oh petit, regarde ce que tu as fait à la demoiselle, tu es content ? Elle va devoir te dévorer maintenant ahahah ! Riait le Joker aux éclats. Son rire remplissait la rame, il ne s'arrêtais pas.

L'agresseur se retourna vers moi, et il vit mon vrai visage. Une Louve. Assoiffée de sang. Avant qu'il ne puisse crier, je lui déchiquetai la tête et me reput de son corps. Cela faisait longtemps que je n'avais pas manger un humain, il n'avait pas très bon goût mais cela avait étanché ma soif.

- Mademoiselle Stone je présume ? Disait le Joker, il s'était calmer, même s'il avait encore des larmes de rire au coins des yeux.

Je me re-transforma doucement en humaine. Putain fait chier encore des habits à racheter ou à recoudre... Quand je me transforme en Louve je grossis et grandis un peu plus. On peut toujours comprendre que je suis une femme grâce à mes traits qui restent feminins. Mais le pire dans tout ça c'est que je déchire mes vêtements à chaque fois c'est le point négatif mais j'essaie de voir cette malédiction du bon côté !

- Merde, j'ai encore déchiré mes vêtements. Je suis désolé ... Mais merci de m'avoir aidé.

Le Joker me regarda et me donna sa veste.

- Merci Arthur. Disais-je doucement

Il me regarda stupéfait et recommençai à rire. Je ne bronchai pas et lui prit la main, il se détendit en quelques minutes.

- Ce prénom, cela fait bien 15 ans que je ne l'ai pas entendu. Comment le connaissez-vous ?

- Je vous admire depuis petite, je me suis installée ici en partie pour savoir votre identité. Désolé de faire ma groupie. Lui répondis-je timidement

- Cela ne me dérange aucunement, cela fait plusieurs jours que je te suis. Je t'ai vu te transformé cette semaine. Tu as mangé quelques chats. Ricanait-il

- Ah, désolée pour le spectacle navrant que vous avez du enduré Arthur, cela ne vous dérange pas que je vous appelle par votre prénom ?

- Aucunement, mais fait le quand nous sommes que tous les deux, personne ne doit savoir ma vraie identité.

J'acquiesça, je le contemplais. Il était magnifiquement diabolique. Son costume était rouge, son maquillage était celui d'un clown triste comme à ses débuts. La seule chose qui avait changé c'étais ses cicatrices qui prolonger son sourire.

- Mais pourquoi tu veux me parler Arthur ? lui demandais-je doucement

- Je te veux ! Toi en tant qu'humaine, toi en tant que Louve puissante. Nous devons anéantir Batman. Tu seras mon bras droit, avec un peu de formation tu dirigeras mes troupes.