Histoire d'Aïko

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Aïko avait 7 ans lorsqu'elle se promenait dans la forêt accompagnée de ses parents.
Seulement dans cette forêt, se trouvait des pièges à ours, bien cachés.
La mère d'Aïko, n'ayant pas vu les panneaux d'avertissement, se pris dans l'un d'eux.

Son mari se précipita à ses côtés et hurla à Aïko d'aller chercher de l'aide le plus rapidement possible. Aïko se mit à courir le plus vite qu'elle pouvait.
Au bout d'une demi-heure passée à courir dans la forêt, elle tomba sur une vieille cabane, dans laquelle se trouvait le propriétaire des lieux et détenteur des pièges.
Aïko, en pleures, lui expliqua la situation, mais l'homme, inhumain, lui dit qu'ils auraient dû faire plus attention et jeta la petite fille dehors.

Aïko retourna voir ses parents, avec une rage profonde envers cet homme et une peur immense pour la vie de sa mère.
Et en effet, lorsqu'elle arriva, elle vit sa mère, morte, vidée de son sang, et son père hurlant de douleur à côté d'elle.

Depuis cet accident tragique, Aïko n'est plus la même...
La petite Aïko aimante, souriante, curieuse et joyeuse, a laissé place à une fillette dépressive, qui ne parle plus à personne et renfermée sur elle-même.
Elle ne se nourrit plus et ne sors plus de sa chambre...

Son père quant à lui...est devenu alcoolique, toxico et violent.
Il bat et viol Aïko pendant 4 longues années...

La nuit de ses 11 ans, le côté sombre d'Aïko prend le dessus sur elle.
Cette même nuit, elle descendit à la cave et récupéra au fond d'un coffre en bois, deux petits poignards ayant appartenu à sa mère, dont elle ne se séparera jamais.

Elle remonta en direction du salon où se trouvait son père, affalé sur son fauteuil en train de dormir.
Elle commença par lui attacher solidement les bras et les mains aux accoudoirs et lui attacha les jambes aux pieds du fauteuil.
Puis elle le bâillonna avec un vieux torchon.
Il se réveilla à ce moment-là et se mit à paniquer.

Aïko se tenait derrière lui, elle lui attrapa la tête et la tira de façon à ce qu'il la voit.
Elle le regarda dans les yeux et lui dit :
"Et si tu payais pour toutes tes conneries ? Qu'est-ce que tu en dit ? Et si... Je te crevai un œil, maintenant ?"

Son père, à moitié ivre, ne compris pas de suite qu'il était en danger. Il regarda sa fille dans les yeux et compris que ce n'était pas une blague et qu'elle était des plus sérieuses.
Il se mit à se débattre et à crier, ce qui excita encore plus Aïko.

"Oh c'est vrai ? Tu veux jouer ? Génial ! Commençons tout de suite !" Dit-elle excitée et heureuse.

Elle lui creva un premier œil, puis relâcha sa tête et se dirigea vers les pieds de son père.

"Et si on coupait un peu ces ongles ? Ils m'ont l'air bien grand !"

Elle retira les chaussures de l'homme et lui coupa un orteil. Il se mit à hurler.

"Oh ? Excuse-moi, je crois que j'ai coupé un petit peu trop d'ongle. Je ne t'ai pas fait trop mal j'espère ?"

Elle ricana.

Il se mit à pleurer tout en hurlant et se débattant.

"On verra si je fais mieux au prochain ?" Dit-elle dans un rire étouffé.

Il la regarda dans les yeux la suppliant du regard de ne pas faire ça.

"Tu ne veux plus jouer ? Mais quel dommage, il se trouve que tu ne t'arrêtais pas quand je te le demandais je me trompe ?!"

Sur ces paroles elle lui coupa un deuxième orteil, puis un troisième...
Elle fit de même pour les deux pieds.

"Dit-moi ? Ce n'est pas très amusant les pieds, tu me permettais d'essayer autre chose ? De toute façon, je ne crois pas que tu aies vraiment le choix !"

Elle planta un des poignards dans l'abdomen de son père et le tourna sans s'arrêter, le faisant ainsi hurler de douleur.
Elle le retira et le regarda se vider de son sang, avant de lui faire une entaille profonde, partant du haut de la poitrine et descendant jusqu'à ses genoux.
Elle le regarda dans les yeux.

"Oh ? Bah tu vas déjà mourir ? T'es même pas drôle. Je veux encore jouer ! Je veux jouer ! Je veux jouer ! Je veux jouer ! Je veux jouer !!!"

Une rage encore plus grande l'envahissa et elle se mit à le poignarder sans retenue, une bonne cinquantaine de fois.
Une fois l'homme mort elle le découpa, membre par membre, et brûla à la cave, les restes du corps.
Elle se mit à éclater de rire devant le feu et alla prendre une douche.

Après avoir nettoyé tout le sang, elle retourna dans la forêt dans laquelle est morte sa mère et retrouva la vieille cabane.
Espérant que l'homme sois toujours là, elle entra par la porte arrière et se mit à l'écoute des bruits lui permettant de savoir où se trouvait l'homme.

Elle remarqua qu'il était à l'étage et monta délicatement et sans aucun bruit les escaliers.
L'homme était dans sa chambre, dos à la porte et à l'opposé de la pièce.
Aïko s'approcha doucement et lui attribua un premier coup de poignard dans le dos.

"Ça c'est pour la fois où tu as laissé ma mère mourir !"

Puis un deuxième,

"Et ça, pour tout ce que m'a fait mon père a cause de toi !"

Elle déversa toute sa haine, en poignardant sauvagement l'homme à maintes reprises.
Une fois mort, l'homme eu droit au même sort que le père de la petite fille, elle lui arracha les membres un par un et emmena les morceaux dans sa cave.
Elle les déposa près des restes de son père.

Depuis ce jour, Aïko pris goût au sang et torture désormais toutes ses victimes avant de les tuer...
Avant de découper leurs membres et mettre les restes près des restes des anciennes victimes.

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⏰ Dernière mise à jour : May 23, 2020 ⏰

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