Mes mains tremblent
Résonne encore, le son glaçant de la balle s'échappant du barillet,
Ton sourire glacial, ton ténébreux visage me rit au nez...
Dans ces putains de rêves.Dans ces rêves horribles,
Ma frêle âme se fait retourner par toi
Tu la baises et elle aime ça
Je me hais, et je hais ton ombre martyrisante, qui plane au dessus de ma silhouette secouée de spasmesSpasmes de honte, de pleurs, de peur, de sang à l'heure
Ton ombre, tel un mort-vivant nécrophile, me fait vivre et faire des atrocités
Je t'en supplie, éloigne toi de moi
Chaque nuit, je meurs un peu plus pour toi
L'espoir de guérir se meurt en moiCes tenailles mentales ne font qu'aggraver mon cas, comme l'ont fait tes mensonges et tes humiliations publiques. La fumée de ton joint m'a enfumé l'esprit. Tes paroles m'humilient.
Tu m'as réduite
en miettes
tel l'effet de la cigarette
Bravo
L'artifice de funestes couleurs de ce cachet révèle mon geôlier sadique :
Le « sommeil » artificiel, plus torturant qu'apaisant, se planque dans ces cachetons marrons ; simulant, l'apparition de ce fuligineux bras trouble qu'est le Styx ; sur lequel flotte sinistrement la barque du passeur des âmes : Chiron.
Les cicatrices (dé)peignent une silhouette torturée, prise au piège, étouffée, noyée dans les flots sinueux de ce Rouge vif, qui se répand avec extrême virulence sur le blanc de la vasque,
Un Blanc pur, un pur Blanc ...Le Rouge et le Blanc se mélangent, s'épousent, se livrent, l'un à l'autre, l'un dans l'autre, à tout jamais sur la toile souriante, cynique ;
Dans une effusion, de bras sanguins, de sourires mesquins, de pleurs cristallins sous/dans le sein d'une peau de porcelaine cadavérique.
CITEȘTI
🌑Rimes D'un Soir🌑
PoezieUne mise à nue poétique dévoilant l'intensité d'une âme... Voici l'essence de mes écrits. Auras-tu le courage de plonger dans les abysses de ma poésie ? De suivre les traces de ma vie ?