Chapitre 4~

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Birnimgham 1918

Je me réveille avant tout le monde, je veux partir, c'était sympa j'ai eu un coup de fatigue je ne les connais pas assez et j'ai déjà donner beaucoup trop d'informations à mon sujet. Je me lève, m'habille, fait mon lit, laisse un mot et de l'argent, je ne suis pas impoli tout de même. Je sors de ma chambre discrètement, aussi discrète qu'une petite souris.

Seulement quand je passe devant la cuisine, John est en train de faire du café, alors je passe pendant qu'il a le dos tourner, je passe devant la porte mais je cogne mon orteil dans le mur et lâche un juron. Grillé....

John-Eh ! Daisy , tu es déjà debout , et prête à t'en aller comme une voleuse à ce que je vois.

Daisy - Bien le bonjour à toi aussi John, en faite j'avais effectivement prévu de partir mais j'ai laissé de l'argent et un mot affectueux à l'adresse d'Ada et de Polly.

John-Et rien pour moi ?

Il me sort un sourire charmeur en disant cela, je souris à mon tour et m'approche de lui. Et c'est timidement mais avec tout le courage réuni que je lui laisse un baiser furtif sur la joue.

Daisy- Au revoir John, ce fut un plaisir.

John- Au revoir, je pense que si tu t'installe dans cette ville, nous allons nous croiser de nombreuses fois.

Daisy- Et bien j'ai déjà hâte. A la prochaine.

Je lui fais un sourire qui ce veux charmeuse, il rougit comme c'est mignon , mais lorsque je tourne la tête pour partir je sens mon visage chauffer à un point, que je desserre mon foulard nouée autour de mon cou.en sortant je vois le soleil se lever sur Birmingham, je décide de me trouver un logement, histoire d'avoir des bases solides.

Un toit est là meilleur solution pour me reposer et prendre le temps de mettre mon plan en exécution. Toute la mâtiné je suis à la rechercher d'une maison mais pas que pour moi et si je le retrouve, mon frère. Je trouve une jolie baraque un peu style manoir avec des vielles brique noir, c'est pas le luxe mais dedans , je trouve que cette maison a une âme . Ne vous méprenez pas , je n'étais pas une putain pour pourvoir me payez tous ceci a mon âge, disons que j'ai été adopté dans la mauvaise famille et que je faisais des casses. Donc je reprends le tour de ma nouvelle maison, les murs portent des couleurs Bordeaux avec des grands rideaux dorée , la cheminée est brune et les fauteuils sont dorée et beige , j'aime beaucoup , j'ai su l'acheter aujourd'hui, puisqu'elle était un peu en ruine et que le dernier propriétaire est mort dans une des pièces de cette maison, c'est un peu glauque mais pour le prix je vais survivre je pense.

Je décide de faire un peu de ménage , enlever la poussière, je vais engager une femme de ménage, et en fin d'après-midi je me fais un feu, il pleut dehors et j'ai déjà pas mal avancer dans cette maison, je prend les documents que j'ai eu pour le moment, je ne suis pas aller à la mairie aujourd'hui pour prendre cette maison mais demain j'irais et après je chercherais du travail, une femme seule dans une grande maison et qui n'a pas de travail sa fait louche, en plus si elle est étrangère.

Alors je sors le premier petit papier celui qui est plier dans mon porte feuille , c'est une photo de moi et mon frère, je n'ai même pas son prénom, nous sommes de père différent mais nous avions vécu ensemble il y a un moment.

Flashback de Daisy


J'avais exactement 5 ans et je courais dans la maison avec mon frère , nous avions le même âge, le même père mais pas là même mère, ma maman m'avait expliquer que mon papa avait eu deux amoureuses en même temps et que c'est pas pour qu'on avait le même âge sans que maman eu des jumeaux. Donc je jouais avec mon frère quand , dans la maison, on entendais nos parents ce disputaient. Pique par la curiosité, on est aller voir pourquoi ils hurlaient, quand on est entrer nous avons vu mon père en pleure avec l'autre maman et ma mère avec les cheveux décoiffé , le maquillage avait coulé de partout et elle était toute rouge et ces yeux aussi , ils étaient énorme comme des soucoupes, mais j'avais envie de pleurer, mon frère mis sa main sur ma bouche et de son autre main me disait de me taire. Je voulu reculer mais je me pris le tapis.

Lady ShelbyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant