The umbrella academy ~ Tome 2

Chapitre 5

Le soleil se lève depuis déjà une vingtaine de minutes. Je coupe à peine le moteur qu'un petit corps s'engouffre dans la voiture m'ordonnant de démarrer.

— Bonjour à toi aussi petit frère ! Je vais bien merci de demander.

— Pas le temps aux plaisanteries Morane, nous allons chercher Vanya.

— Vanya ! Tu l'as trouvé ! Comment ?

— Par ondes acoustique.

— Hein ?

Il lève les yeux au ciel.

— Par radar météorologique.

Je hausse les épaules. Bon s'il dit qu'il l'a trouvé...

Après une dizaine de minute, le soleil est haut dans le ciel. Il doit être huit heure. Nous avons quitté la ville pour atterrir dans la cambrousse. Je coupe le moteur et nous marchons dans un champ.

— Mais pourquoi utiliser son don ici ? M'agaçais-je ne la trouvant pas.

Cinq jure entre ses dents secouant sa veste ne me prêtant aucune intention il avance de quelques pas puis écarte des grandes feuilles.

— Salut Vanya.

Je souris contente. On l'a trouvé.

— T'es qui toi ?

— Je suis ton frère.

— J'ai un frère ?

— Et une soeur !

Je lui saute dans les bras. Une de plus dans la famille une ! Bientôt au complet ! Elle ne me rend mon étreinte que quelques secondes après mais je sens de très loin son malaise alors je la relâche et je me place au côté de notre frère.

— Bon, tu as le choix de rester ici et que la mafia IKEA revienne te tuer, sois tu peux nous suivre.

Il n'a pas juger important de me dire qu'elle sait fait attaqué ?! Il fait demi tour suivit par Vanya alors je fais de même restant silencieuse.

— Pourquoi ils essayent de me tué ?

— Tu n'es pas censée être ici.

— À Dallas ?

— Non, ici en 1963.

Nous finissons par d'ébouler dans un endroit ravagé en un rond parfait.

— Putain c'est quoi ce délire ?

— Impressionnant pas vrai ?

— Complètement ! Ajoutais-je le sourire scotcher aux lèvres.

— Content de voir que tes pouvoirs sont toujours là. Allons-y.

Nous traversons le champ jusqu'à la voiture ou je reprends la place du conducteur.

— Vous pouvez m'expliquer ?

— Morane roule jusqu'à un bar, j'ai besoin d'un bon café.

Je soupire.

— T'inquiète pas sœurette on va éclairer ta lanterne. Déclarais-je en démarrant.

Après avoir fait le chemin inverse, je trouve le bar d'hier et je mis gare. Ils sortent de la voiture et j'en fais de même. Nous entrons, la même ambiance tamisé d'hier ce fait ressentir, bien, tant mieux. On s'assoit tous au bar, Cinq ce place entre nous et commande directement du café.